Réflexions sur diverses infos

Désormais, les Etats-Unis répondent directement à la Russie. Non seulement, Barack Obama a affirmé que les visées de Vladimir Poutine ne trompaient personne, mais, en plus, John Kerry a dénoncé l'agression contre l'Ukraine.

Les choses n'ont pas changé : la stratégie à long terme des Russes est toujours là : on dirait qu'ils n'en ont jamais assez. Ils veulent toujours plus de terres, et ils n'en tirent pas le meilleur parti, car leur territoire est tellement immense - et tellement glacé - qu'il demanderait trop d'énergie, pour se densifier correctement. Par ailleurs, à l'inverse des immenses étendues d'Asie, la Crimée, en Ukraine, est hospitalière et fertile ; surtuout que la région de Sébastopol n'est pas la seul susceptible de tomber dans le giron du Kremlin. Quoi qu'il en soit, l'enjeu est de taille, et, jusqu'à présent, les frontières du pays menacé de scisssion n'ont pas officiellement bougé, peut-être parce que l'Oncle Sam s'est invité dans une crise qui ne le concerne pas. Comme s'il était impensable de faire une guerre (diplomatique, dans le cas présent) sans y convier ceux qui se croient être le gendarme du Monde. D'ailleurs, les Européens ne devraient pas leur laisser croire, aussi, que c'est grâce à leur entremise qu'un conflit armé n'éclatera pas - on l'espère. Car toute la pression repose sur l'Union des 28, qui va peut-être devoir assumer d'avoir fait les yeux doux seulemement à l'Ouest d'une nation. Ce qui pourrait aboutir à l'édification d'un nouveau mur, comme à Berlin.

Cet intitulé est assez trompeur, dans le sens où le centre de gravité du Groupe est assez clairement du côté gauche du tiret, alors que le côté droit constitue le fond du commerce. D'ailleurs, ce dernier fer de lance a été créé en 1963, alors que son partenaire existe depuis 1994. Ce dernier a acquis son double en 2007. Ainsi, on est en présence d'un mastodonte, qui, en 2012, comptait 1.232 collaborateurs - un nombre en augmentation. L'union de tant de personnes fait que, pour la même année, on a collecté 1.584.000.000 € de revenus, un chiffre d'affaires que l'on a réalisé sur 3 pays : l'Espagne, l'Italie, et la France.

Le secteur qui permet une telle accumulation de gains est celui de l'immobilier, avec une bonne maîtrise de la filière, à travers la conception, le développement, et la commercialisation d'un portefeuille d'actifs de près de 8 milliards d'euros. Il faut distinguer 3 marchés : celui des commerces, celui du logement, et celui des bureaux d'entreprise. Il est bon de rappeler le palmarès de chaque branche : pour ce qui est de l'activité visant les locaux dont le but consiste à vendre diverses choses, on est en présence de la troisième foncière française du genre, et celle-ci est multicanal, c'est-à dire que, depuis le rachat d'un acteur majeur du commerce électronique, on dispose de plusieurs biais pour assurer le métier de vendeur ; pour ce qui est des lieux de résidence, l'entité détiendrait la position de premier promoteur à Paris et dans le Grand Lyon, et, malgré sa présence dans 10 villes de l'Hexagone, on a bâti que 50.000 habitations depuis 1963, ce qui paraît très peu ; enfin, les locaux à usage professionnel, qui ne sont pas des boutiques, sont en train de prendre une place grandissante, grâce, notamment, aux 500.000 m² qui sont en cours de construction, qui vont s'ajouter aux belles réalisations de Paris-La Défense, et aux hôtels luxueux que l'on a livrés ici et là. 

On propose, cette fois-ci, d'écrire un article sur un film assez récent, puisqu'il date de l'année 2013. Son casting ne comporte pas de personnalités de premier plan, mais il s'agit d'une saga qui une réalité depuis les années 70. Donc, pour un public averti, il est question de véritables stars, ce qui n'est pas faux. Bien sûr, les différents épisodes évoluent, et certains acteurs invités à remplir des rôles fugaces commencent à être connus. Dans le cas présent, c'est même une chance, pour ces derniers : non seulement parce que les académies de cinéma ont remarqué, par des nominations, la production en question ; mais aussi, parce que le long métrage que l'on étudie a été un formidable succès commercial. Il faut dire que, pour le coup, on n'a pas lésiné sur les effets spéciaux, pour en mettre plein la vue au spectateur. Assez, logiquement, grâce à cette débauche de manipulations informatiques, on a pu se mettre à imaginer le futur. En l'occurrence, celui-ci est assez rassurant, puisqu'il ressemble fort au présent, mais avec la technologie en plus. Alors que l'on se projette dans le 23ème siècle, les apparences du Monde seraient, alors, semblables à ce que nous vivons, au 21ème siècle, ce qui est probable car, quoi que nous inventions, l'être humain agira toujours dans le sens de son confort et de son bonheur : il semble qu'il ait trouvé la manière de se rendre heureux, en créant des lieux où il peut se réunir et rassembler des compétences qui feront que chacun aura de quoi être satisfait en tout. Cela dit, il est tout aussi improbable que cette réalité actuelle soit encore vraie : grâce à la révolution numérique, on peut croire que, en 2249, on se rencontrera à domicile, grâce à Internet, et au webcams, ainsi qu'à la fameuse téléportation que l'on nous fait miroiter, et qui serait d'ores et déjà possible pour des électrons.

Les 10 livres suivants ont été des succès de librairie entre le 17 et le 23 février 2014 :

1.   Muchachas - Tome 1,  de Katherine Pancol, chez Albin Michel (roman)

2.   Cinquantes nuances de Grey, d'E.L. James, chez LGF (roman)

3.   En finir avec Eddy Bellegueule, d'Edouard Louis, aux éditions du Seuil (roman)

4.   La femme parfaite est une connasse !, d'Anne-Sophie et Marie-Aldine Girard (roman)

5.   Mali, O Mali, d'Erik Orsenna, chez Stock (roman)

6.   S'abandonner à vivre, de Sylvain Tesson, chez Gallimard (roman)

7.   Le grand coeur, de Jean-Christophe Ruffin, chez Gallimard (roman)

8.   La petite communiste qui ne souriait jamais, de Lola Lafon, chez Actes Sud (roman)

10. Le chardonneret, de Dona Tartt, chez Plon (roman)

Il semble que, de toutes les biographies que l'on a étudiées, celle-ci se démarque des autres. On va évidemment expliquer pourquoi, mais, d'abord, il faut souligner combien la France a eu la chance de voir naître ce talent (ou, peut-être, est-ce l'inverse ?) au sein de sa capitale, le 21 juin 1961. En effet, sa famille est d'ascendance espagnole, et a été tiraillée entre Cuba et l'Algérie, pour fuir la violence - essentiellement pour échapper la violence du régime franquiste. Heureusement, son père est, aussi, orienté vers la musique, et, naturellement, il fait découvrir cet attrait à ses 2 enfants. Cela est une bonne idée, puisque l'un des 2 - celui dont on éétudie l'ascension entre au conservatoire. L'instrument fétiche de ce dernier n'est pas le piano, comme pour son père, mais la guitare. Et, assez logiquement, c'est son frère qui deviendra son premier compagnon de route. On peut même parler d'histoire de famille, puisqu'il se tourne, également, vers son cousin, avec qui il partage beaucoup de choses. Ensemble, ils vont passer par plusieurs formations musicales, avant de créer la leur, avec d'autres amis. Ce sera la Mano Negra, qui est plutôt influencé par le rock. Ainsi, tout ce monde va connaître un certain succès, et l'influence des leaders fait que l'on sera amené à sillonner les routes d'Amérique du Sud. Tout le monde ne s'attendait sans doute pas à trouver la réussite à des milliers de kilomètres de la mère patrie, et le groupe se dissout lors d'un voyage en Colombie. Pour celui qui nous intéresse, c'est un drame : il erre dans cette partie du Monde, où sa vie a pris un tournant amer. Il se considère, alors, comme un "clandestin", et son amour pour la musique s'érode. Avant de passer à autre chose, il tient à faire un dernier album d'adieu, qu'il conçoit mal. Heureusement, un beug informatique répare ses erreurs, et le consacre, en 1998, à 37 ans.