Réflexions sur diverses infos

Ce qui retient l'attention, dans cette biographie, c'est la quasi-continuité d'une passion : l'écriture. Cela n'a rien de surprenant, car chaque enfant manifeste de l'attirance pour ce qu'il aime. Mais, il faut reconnaître que l'on a plus l'habitude de voir des bambins heureux de pouvoir gambader dans les prés, plutôt que de s'amuser devant une feuille blanche, surtout quand il s'agit d'y aligner des mots, non d'y faire des dessins. C'est pourtant le cas de notre future chanteuse, dont le père est dessinateur, et lui a sûrement appris l'art de manipuler le crayon. Bien sûr, cela n'était pas inné, et sa passion n'a commencé à être effective que quelques années après  ce jour de 1966 (le 25 juillet), où elle a vu le jour, à Portneuf, au Canada, non loin du Québec. Peu après l'apparition de son goût pour le maniement du stylo, elle découvre son attrait pour le chant. C'est ainsi que, à 9 ans, elle écrit une première chanson... dédiée à son géniteur. Dès lors, il n'y a plus besoin de chercher le mécanisme qui a fait qu'elle a développé ces centres d'intérèt précis : c'est l'admiration pour son papa qui a été un moteur. On imagine, aussi, que son épanouissement s'est fait harmonieuusement, entourée de ses 2 soeurs. ce que l'on sait concernant sa formation, c'est qu'elle a appris la guitre étant ado. Elle chapeaute ses études classiques par des études littéraires, mais, très vite, elle abandonne cette voie pour se consacrer pleinement à son plaisir d'enfance, et cela a vite des répercussions concrètes : en 1989, elle remporte le premier prix d'un concours festivalier. Du coup, l'année suivante, à 24 ans, son premier album sort. Toutefois, avant de commencer à se faire un nom dans l'Héxagone, il lui faut attendre encore 2 ans. Là, elle va être prise sous l'aile d'un de nos artistes universellement connus : c'est là la consécration.

Encore un milieu, offensif cette fois, qui est arrivé tardviment à l'OM : sa venue date du 2 septembre 2013. Il est donc au beau milieu de sa vingtième année de vie, lors de la rédaction de cet article. En effet, ce jeune homme a vu lr jout le 26 jenvier 1993 à Orléans. 1m70 et 70 kg plus tard, le voilà débarqué dans le port de Marseille, où il se rend en provenanse de Bastia, club avec lequel, en 2 saisons (de 2011 à 2013), il monte en Ligue 1, et joue, en tout, 55 matchs, pour 10 buts - mis au plus haut niveau. Auparavant, il a débuté à Grenoble, toujours en deuxième division, où, entre 2010 et 2011, il a pris part à 3 rencontres. Depuis qu'il fait partie de l'effectif olympien, il a servi 5 fois, jusqu'ici, dont 2 fois en Ligue des Champions.

La CGT, qui refuse de signer un nouvel accord concernant le travail nocturne, oblige l'enseigne Monoprix à fermer ses points de ventes à 21h maximum. Cela va concerner 94 supermarchés.

Ce coup de pression superflu met bien en évidence la vision égoïste des syndicats : ils voudraient toujours que leurs membres travaillent toujours moins, en gagnant toujours plus. En tous cas, c'est que suggère l'affaire en question, car, en principe, les salariés sont raisonnables, et font attention de ne pas trop plomber les comptes de leur entreprise, mais, en réduisant les horaires d'ouvertures, c'est ce qu'ils font. La décision est donc, car, au moment où l'économie mondiale, et, plus particulièrement française, peine à redémarrer, les réactions inflexibles des socialistes, et de ceux qui veulent trop affaiblir le patronat, ne sont pas vraiment idéales. Déjà que l'on se reproche, en France, de ne pas assez travailler, il est un peu fort de café de s'insurger contre des pratiques qui existent déjà plus ou moins (labeur dominical) ou qui sont carrément ancrées dans les habitudes - comme les heures de nuit. De toutes façons, le calcul est assez simple : si l'on renonce à assurer un service qui était admis par tous, sous prétexte qu'il faut assurer l'intangibilité des acquis sociaux, cela fait donc baisser la moyenne du nombre de tâches fournies par chaque salarié, si bien que, par la suite, on en arriive à repousser l'âge de départ à la retraite.

Le réalisateur en question fait la fierté de la nation qui la vu naître, et il est logique d'expliquer pourquoi. D'abord, il est né le 20 octobre 1956 dans la banieue de Manchester en Angleterre. Il est issu d''une famille respectable qui n'a pas d'origine exotique (ce qui évite de réveiller l'amertume des rascistes) : sa mère est irlandaise et son père est anglais ; le couple est catholique. Pendant son enfance et son adolescence, il reçoit une ééducation classique, et, juque là, il n'y a pas de quoi dire du mal de lui. On en aura jamais l'occasion, puisque, même son parcours est exemplaire : celui-ci commence tard, ou, en tout cas, met longtemps à s'activer. On sait juste que, jusqu'à ses 26 ans, il joue dans une compagnie de théâtre, activité pour laquelle il est récompensé - et donc remarqué - plusieurs fois, si bien que, 3 ans plus tard, il dirige, à 29 ans, une institution telle que celle que l'on a présenté, mais d'envergure nationale. Ainsi, il côtoie des personnage versés dans l'art du cinéma, et, à leur côté, il apprend le métier plour lequel il est connu. Il faut dire qu'une idée de génie l'aidera : dénoncer les conditions de vie de la banlieue dans laquelle il vit. Il est vrai que, pour ses débuts, il se fait aider par ses amis, mais, d'emblée, il se lance dans une trilogie, ce qui est ambitieux, pour un débutant ; cela laisse penser, aussi, qu'il a beaucoup de choses à dire. Du coup, dès 1994, et son premier long-métrage, il a dû acquérir, à 38 ans une notoriété nationale indéniable. Mais, c'est à partir de 1996 que son renom s'internationalise, avec un deuxième fait d'armes qui rencontre un énorme succès commercial, et on sait que l'on a l'habitude de choyer ceux qui font gagner beaucoup d'argent. En ne parlant pas de ce qu'il a fait entre temps, on en arrive à l'année 2007, anné de la consécration, pour lui. Il doit continuer.

On appelle cela un "shutdown". Aux Etats-Unis, 800.000 fonctionnaires ont été mis au chômage technique, à cause de la mésentente, au Congrès, des démocrates et des républicains.

Les USA forment un grand pays, et la situation ne saurait durer. En effet, les républicains, qui refusent de signer le système de sécurité sociale, devraient vite s'apercevoir qu'ils sont de plus en plus montrés du doigt. Tout est une question de doctrine : il est de notoriété public que l'Oncle Sam a inscrit le libéralisme dans sa Constitution. Cela signifie que l'Etat n'intervient pas dans l'économie, et le fait que l'on distribue des ressources financières est une entorse patente à ce principe. Alors, pour une question d'idéologie, bloquer tout un pays (surtout que les parcs nationaux, et donc les revenus du tourisme, sont fermés) est un peu fort. En fait, ceux qui font obstruction ne veulent pas reconnaître que leur ligne de conduite - celle qu'ils ont suivi jusqu'ici - n'est pas forcément la meilleure. Une autre façon de faire, venue de l'Ancien Monde, donne de meilleurs résultats. Il vrai que, au bout de quelques siècles, les dogmes auxquels s'attachent les Yankees ont fait leurs preuves. Malheureusement, ils supposent que tout le monde est fort, et ce n'est pas le cas. Ainsi, ceux qui sont trop conservateurs doivent changer d'avis, et il n'y a que les imbéciles pour ne jamais changer d'avis. Ils s'apercevront bien vite qu'ils en font partie.