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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 22:26

Parfois, le flamand ressemble beaucoup au français, quand il s'agit de toponymes. Ainsi, ici, on retrouve, dans le dernier terme, la ville de Louvain. Il s'agit d'une cité de 93.000 habitants, située en position plutôt centrale, par rapport au reste du territoire. Plus au Nord, toutefois, puisque, dans cette direction, on rejoint les Pays-Bas, au bout de 63.861 mètres. D'ailleurs, vers l'Ouest, et légèrement plus près de l'équateur, la capitale est à 24.946 longueurs. Enfin, direction plein sud, il faut prévoir 84 km pour aller en France. La structure actuelle est issue d'une fusion en 2002, mais elle remonte à 1957. Quoi qu'il en soit, on peut être sûr que le Stade Den Dreef, qu'elle occupe, compte 10.000 places. Il n'y a pas de palmarès.

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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 22:32

Les intitulés de clubs italiens sont typiques, dans le sens où le deuxième terme est spécifique à ce pays. Quant au premier, il désigne une ville du Piémont (Nord-Ouest), qui compte 105.000 habitants. En allant tout droit vers l'Occident, on rejoint la frontière française, après 117.562 mètres. En se dirigeant droit vers le pôle, c'est la Suisse que l'on attend, après avoir parcouru 80.302 longueurs. Enfin, pour se rendre dans la capitale, il faut prévoir 504 km en direction du Sud-Est. Outre ces précisions géographiques, , on précisera que la formattion sportive que l'on étudie date de 1908, alors que le Stadio Silvio Piola de 10.100 places. Des  tropphées ont été remportés à tous les niveaux, et, on dira juste qu'il y a un titre de Champions d'Italie.

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 21:44

On retrouve souvent, dans le football espagnole, les 2 derniers termes affublés d'initiales en majuscule. Du coup, il est facile d'identifier la ville qui, dans cet intitulé, est concerné : il s'agit du premier mot. Cela désigne une cité de 237.000 habitants, située dans le Sud du pays, à une latitude si basse que la mer, en position méridionale, n'est qu'à 49.738 mètres. En allant vers l'Ouest, on rejoint le portugal, au bout de 338.470 longueurs. Enfin, pour se rendre dans la capitale, il faut prévoir 361 km. Pour ce qui est du club présenté, celui-ci existe depuis 1931. Bien qu'il ait l'honneur d'occuper le Stade Nuevo Los Carmenes de 16.600 places, il n'a aucun palmarès.

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 22:54

En regardant cet intitulé, savoir que le quartier madrilène de Vallecas est concerné n'est déjà pas chose aisée. Depuis 1950, cela est encore plus dur, puisqu'un recoupement administratif fait que la section en question est à moitié englobée dans le territoire de le capitale. Il y a, donc, 2 parties - une intérieure et une extérieure - et si on les réunit, il y a, ici, 348.000 habitants, qui, apparemment, ont tous les moyens d'êtres mobiles, vu que les unités qu'ils habitent sont délimitées par 3 autoroutes. Surtout, un stade de 15.500 places - le Teresa Rivero - est mis à leur disposition. Celui-ci héberge un club de 1924, qui n'a pas de palmarès.

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 22:26

Cet intitulé est très trompeur, puisque le nom de la ville concernée n'y figure pas. Il s'agit de Séville (et, par habitude, on parle du Bétis Séville) : une grande ville de 700.000 habitants située en Andalousie. Toutefois, on peut encore parcourir 157.684 mètres vers le Sud, en se décalant un peu vers l'Orient, pour rejoindre l'extrèmité du Détroit de Gibraltar. En ce qui concerne le Portugal, sa frontière est à 128.763 longueurs, vers l'Ouest. Enfin, à 390 km vers le Nord-Est, on peut trouver la capitale. On peut présenter, maintenant, le club en question : il a été créé en 1907, et occupe le Stade Benito Villamarin de 51.300 places. Son palmarès compte, au plus haut niveau, 1 titre de Champions d'Espagne et 2 Coupes nationales.

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 18:58

Cet établissement a de bonnes raisons d'attirer des clients. En effet, sa carte, c'est-à-dire le flyer, est bien fourni, avec une bonne quantité de recettes proposées. Les prix y sont raisonnables, et, en l'occurrence, on a choisi la MARSEILLAISE, avec du thon, des anchois, des câpres, et, bien sûr, du fromage et des olives ; le tout vaut 10 €. I convient de dire, d'emblée, que l'on sent bien le poisson, dès l'ouverturede la boîte. Malheureusement, cela est plus une question d'odeur que de saveur. En effet, au niveau du goût, les produits de le mer ne savent pas se distinguer de manière assez incisive, par rapport à celui que l'on fait à partir du lait. En bouche, il est surtout zisé de déceler la présence de chair animale par la texture, qui, en ce qui concerne celle du plus gros, et plutôt filamenteuse, ressemblant à de la viande. Mais, ce qui est important, c'est que sur cette base protéinée (à ne pas confondre avec le fond à la tomate), les condiments verts, qui, dans le cas présent, sont assez dilatés, tranchent sans appel, avec leur nuance gustative légèrement sucrée, ce qui donne un excellent effet sucré-salé au plat. Enfin, il ne faut pas oublier de la cuisson de la pâte, qui n'était ni trop dure ni trop molle : juste ce qu'il faut. Peut-être est-ce un coup de chance.

Essayer d'apprécier la saveur des fromages que l'on dépose, le plus souvent, sur les pizzas est une épreuve assez ardue, puisque la cuisson, qui fait fondre l'ingrédient, altère le goût de celui-ci (mais, peut-être l'a-t-on déjà fait remarqué) ; d'un autre côté, le plat en question comprend, de toutes façon, un produit lacté que l'on a pu râper. Puisque l'on peut constater ce dommage quand il s'agit de la mozzarella, ou dans le cas de la célébrissime recette dite "4 fromages", dans laquelle les coulis des différentes variétés se mélangent, pour former une sorte de couche homogène, l'occasion de tester une espèce italienne moins courante, concernant la spécialité napolitaine : ainsi, l'objet du test a été la GORGONZOLA, qui est fixée à 9€. Le coup a été réussi, puisque, effectivement, la nuance est bien distincte. Il semble que les concepteurs aient su mettre en valeur ce qui vient de la laiterie, car l'habituel emmental n'était pas là. Seules les olives et la base à la tomate agrémentent la composition. Et, pour ce qui est du légume rouge, son abondance est importante, car, par là, on souligne la subtilité gustative. A part ça, il serait bien dommage de ne pas parler de la légèreté de la pâte, qui possède la souplesse nécessaire pour que l'on puisse la manipuler aisément. Il faut dire que le fait que la recette à laquelle on s'est intéressé ne fasse pas intervenir plusieurs composantes fait qu'il n'y a de poids pour incommoder la bonne tenue phyysique de la préparation. Enfin, signalons que l'attente est plutôt longue, entre la commande et la livraison, ce qui laisse supposer que l'établissement est très solliciter, et, peut-être n'a-t-il pas le temps de faire griller (ce qui n'est pas agréable) ce qu'il vend. Heureux "hasard".

Parfois, les recettes les plus simples peuvent être intéressantes. C'est pourquoi on sera peut-être surpris que le choix se soit porté, pour cette troisième fois, sur la pizza THON. Sur ce point, il faut faire la distinction entre celle qui se fait sur un lit de coulis de tomate, et celle dont la base est à la crème. C'est pour cette dernière que l'on a opté, et il faut le préciser au téléphone, car il faut croire que celui qui enregistre les commande n'a pas le réflexe de demander laquelle on veut : peut-être que cette préparation n'est pas souvent demandée. Pourtant, le personnel de la pizzeria devrait être intéressé, puisqu'il y a un euro de différence, selon que l'on choisit un fond rouge ou blanc. En l'occurence, on a payé 9.50 €. Alors, la dégustation commence par un examen visuel : a priori, il n'y a pas beaucoup de poisson. Mais, cette mauvaise opinion disparaît dès la découpe, en voyant que, en fait, les miettes animales sont cachées sous le fromage que, habituellement, on prévoit pour ce plat. Ensuite, il faut dire que la chair est - si l'on peut dire - noyée parmi les produits lactés, car la présence de substance liquide fait que celle-ci est tellement claire que cela peut couler ; heuresement que le tissu est là pour empêcher que les gouttes ne s'étalent. En raison de cette abondance, on ne presque plus le goût de ce qui vient de la mer, si bien que les olives (sur lesquelles il faut toujours compter) font bonne impression, en colorant gustativement l'ensemble. Bref, si l'on apprécie la saveur doucereuse de ce que l'on fait avec le lait, cette composition figure parmi celles qu'il convient de recommander.

Pour en finir avec le test de cet établissement,, il a été difficile de choisir une pizza, qui, sur le papier, soit assez différent de ce que l'on trouve d'habitude. Pourtant, la carte - si l'on peut dire - est bien fournie. Finalement, on s'est orienté vers la FROMAGERE, qui, pour 10 €, propose du roquefort, du chèver, et du fromage, sur un fond à la crème. On devrait mentionner qu'il y a, aussi, les traditionnelles olives, que l'on oublie, pour la simple et bonne raison que, à partir du moment où l'on parle du plat napolitain en question, le fruit que l'on omet est concerné également. Alors, pourquoi on ne fait pas pareil avec le troisième ingrédient lacté cité ? Telle est la question. Peut-être pour faire croire à une grande diversité. Malheureusement, malgré que, en l'occurrence, toutes les espèces en présence relèvent d'un même principe (le lait), le "truc" des pizzaïolos, pour faire croire que leurs recettes sont très élaborées ne prend pas, pour le coup. En effet, certaines compositions parviennent à faire ressortir le goût de ce qui a été affiné en cave, mais pas ici. En fait, c'est parce que le lit, qui n'est fait de tomate, que cette préparation ne peut pas étre dite "3 fromages", comme c'est le cas pour une autre galette de cette pizzeria. Et, si, visuellement, on arrive à reconnaître le produit caprin de celui qui ne l'est pas, on ne pas en dire autant au niveau gustatif. Bref, on clôt ce test sur une mauvaise note.

Il apparaît que l'on peut donner une bonne appréciation de cet établissement. En effet, la manière de cuisiner est appréciable : il se pourrait bien que l'on ait découvert une bonne adresse.

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 18:17

Puisque ce site s'intitule "Le Guide de la Pizza et des Snacks", et que, du coup, on prévoit de goûter d'autres saveurs que celles du fameux plat napolitain, on a jugé bon, cette fois-ci, de mieux connaître la cuisine créole. C'est ainsi que l'on entame le test complet d'un établissement qui ressemble plus à un restaurant véritable, plutôt qu'à une sandwicherie dont le but est de but est liquider les petits creux. Cela dit, les premiers prix sont accessibles aux amateurs de petits prix (autour de 10 € ; en dessous, si possible) : en l'occurrence, on a choisi un POULET AU COCO, qui, avec son accompagnement, vaut 9 €. Et, vu que la portion est assez petite, on peut penser qu'il serait assez indigne de se croire rassasié avec une ailie et une cuisse de poulet. Toutefois, cela correspond à la petite somme d'argent : c'est pourquoi on a pensé que ce mets avait droit de cité dans ce blog. Malgré tout, la fourchette payante proposée inclus des niveaux beaucoup élevés, et les personnes qui animent l'entreprise doivent avoir plus l'habitude à de grosses commandes. Concernant la dégurtation, il faut dire que cette dernière étape n'est pas sidérante, puisque, la viande, en elle-même, n'est pas imprégnée de la nuance du fruit. C'est, surtout, la sauce qui trahit la présence de la noix (ou de son lait), en sachant que, vu que la gastronomie antillaise est habituellement très épicée, cette subtilité est peu saillante.

 

Il sera sûrement difficile de faire mieux que cette deuxième épreuve,, dans cet établissement, si tant est que l'on cherche des prix bas. En effet, ici, il s'agissait de ddécouvrir l'ASSIETTE CREOLE à 10 €, un rapport qualité-prix qui semble imbattable. Dans ce plat, qui n'est qu'un hors-d'oeuvre, et qui - normalement - devrait être accompagné d'une suite, il y a 4 mets, qu'il convient de présenter. D'abord, il y a les achards, qui sont des crudités coupées en long, et qui sont aromatisés avec du jus de citron (ou quelque chose comme ça, ce qui confère à cette première préparation un délicieux arrière-goût de fraîcheur. Ensuite, il y a un boudin, de taille moyenne, et qui ne met pas le feu à la bouche. Il y a, aussi, les accras (beignets de morue) qui, vu leur forme et leur taille, n'ont pas l'air de confection industrielle - bien qu'il soit difficile d'en être sûr ; il y en a 3 ou 4. Enfin, il ne faut pas oublier le trio de samoussas, qui ressemblent à des amuse-bouches que l'on a frit dans l'huile, mais qui n'en sont pas, puisque l'on sent bien que la garniture est entourée de pâte (cela est non gras au toucher). De forme triangulaire, dans le cas présent, il y a, dedans, des légumes (probablement du poivron et de la tomate). Voilà : ce que propose, pour le coup, ce restaurant est une excellente et agréable façon de découvrir la cuisine créole, surtout que, malgré ce que l'on veut croire, on ne reste pas sur sa faim.

 

Il faut signaler que cet article a une semaine de retard, puisque, à l'occasion de week-end du 1er mai, ce restaurant était bondé. Ainsi, la commande que l'on présente, ici, a pu être passée au bout d'un deuxième contact téléphonique. Il s'est agi de prendre du boudin noir, qui, pour 5 €, est en 2 pièces, et celles-ci ne sont pas vraiment grosses - peut-être que cela est normal. Si bien que, s'il n'avaient pas été bons, que leur contenu n'était pas agréablement pâteux (c'est-à-dire qu'il n'est pas fluide) et justement épicé, le prix serait élevé. Du reste, du fait de la consistance extrêmement molle du produit, qui a tendance à se vider sous la pression des doigts, et de son propre poids, on ne peut pas ne pas se demander commment cela peut se conserver en chapelet, puisque, en l'occurrence, les morceaux, que l'on a disposé sur un lit de salade, n'étaient pas bien séparés. On peut passer, donc, au dessert (on saute le plat de résistance) : il s'est agi d'un fondant au chocolat et à la canelle, que l'on conseillle de réchauffer un peu avant dégustation, au même prix que l'entrée ; ce qui fait, en tout, 10 €. Sur le menu, il est écrit que l'épice présente est le gingembre, mais l'approvisionnement peut jouer des tours. Peut-être est-ce le fait de n'avoir pas fait tiédir le gâteau, mais la subtilité du mélange ne se sent pas.

 

Etant donné que la cuisine créole ne correspond pas vraiment à ce que l'on mange au quotidien en France métropolitaine, on peut être assuré d'être dépaysé à chaque fois que l'on fait une commande dans ce restaurant. C'est ainsi que, pour ce dernier essai, on a choisi de prendre des ACCRAS DE MORUE, à 5€, et une TARTE TATIN EXOTIQUE, à 5€ aussi, ce qui, en tout, n'excède pas le budget habituel de 10€. Ce fut une bonne alternative à ce que l'on prévoyait de goûter, histoire de dire qu'il peut y avoir des problèmes d'intendance. En tous cas, cela ne doit pas occulter le fait que l'expérience a été satisfaisante. En ce qui concerne les beignets de poisson, ceux-ci sont, sur un lit de salade, au nombre de 6, ce qui donne un bon rapport qualité/prix : chaque boulette vaut moins d'un euro. Surtout que, comme on a déjà pu le dire, la surface non uniforme de cela suggère un travail artisanale. Si bien qu'il est possible de croquer dans des filaments de friture, qui, puisqu'ils sont plus dure que la chair, peuvent faire croire à des arètes. Une sauce épicée, à la tomate, est servie, dans un petit pot, à côté. L'élaboration des mets à la main se retrouve, aussi, dans le dessert. En effet, outre le fait que l'on vous conseille de réchauffer rapidement le gâteau, la pâtisserie n'est pas vraiment conventionnelle : il s'agit de tranches de poires, qui, étant entreposées dans la barquette, baignent dans le jus, et sont surmontées d'une galette feuilletée.

 

Il n'y a rien à dire pour justifier une quelconque colère, et il serait injuste de ne pas classer ce restaurant parmi les bonnes adresses, pour une alternative à la pizza, 

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 18:16

Il est clair que, lorsque l'on trouve des ingrédients qui sortent de l'ordinaire, on a envie de commander une pizza à l'établissement qui le propose. Quand on voit que les tarifs pratiqués sont raisonnables, le doute ne se fait plus : on est en face d'une opportunité incontournable. Pour le coup, la recette qui nous aura appelé à faire partie, temporairement,  de la clientèle de cette pizzeria est la GREQUE, avec de la tomate (pas qu'un fond, mais de vraies tranches, coupées en 2), des poivrons, de la féta et l'habituel fromage. Dans cette liste, on remarque que 2 ingrédients sont de même nature. Celui qui est originaire de Grèce reste puissant, et la pureté de son goût reste entière. Ce n'est sûrement pas un hasard si cela permet d'installer une note de fraîcheur qui permet à la saveur des légumes de s'exprimer pleinement, en particulier celle des végétaux que, ici, on peut trouver de 2 couleurs - verts et rouges. A ce propos, on doit préciser que ce qui est, botaniquement, un fruit n'a pas une influence sensible. Toutefois, si la confrontation de tous ces aliments rappelle clairement les doux accents de la Méditerrannée, cela est peut-être dû à ce dernier produit du potager. Après avoir rapporté l'intensité avec laquelle les papilles se réjouissent, il faut dire que la joie est double, puisque le porte-monnaie n'est amputé que de 9.00 €.

 

Quand une pizzeria veut proposer des recettes originales que l'on ne retrouve pas chez le concurrent, il y a certains ingrédients qui se déclinent quasiment à l'infini, et auxquels on peut recourir à l'envi. Il semble que, dans cet établissement, on ait compris que ce jeu était possible, en ayant recours aux différentes sortes de fromages. C'est le cas avec la TARTIFLETTE, sur laquelle on a disposé, sur un fond à la crème, des oignons, des lardons, et, surtout, de la raclette ; le tout pour 9.50 €. Il serait, peut-être, trop facile de faire autant de pizzas qu'il y a de fromages ; il convient, donc, de trouver les bonnes variétés, qui sauront conserver une saveur particulière après la cuisson. Ici, l'effort est déjà fait, puisqu'il existe des façons de cuisiner ce produit lacté chaud. Mais, ici, le plat que l'on propose est, quand même, éloigné de la tradition savoyarde. C'est, peut-être, pourquoi on a jugé bon de souligner ce qui a fondu par la légère nuance gustative qu'apporte la crème. S'il résulte de cette combinaison un goût propre à enchanter le palais, on doit parler, aussi, de celui qui s'attache aux yeux. En effet, les concepteurs de la composition ont dû s'y reprendre à pludieurs fois pour trouver le moyen de faire en sorte qu'une sorte de lit blanc, parfaitement homogène, puisse recevoir la viande et les légumes, qui sont présent en gros bouts. L'absence de pommes de terre se fait bien vite oublier.

 

Ce qui vient maintenant n'aurait sans doute jamais eu lieu si les expériences passées n'avaient pas été bonnes. En effet, on a fait le choix osé de la BROUSSE FROMAGE, dont les ingrédients ne sont pas cachés, et qui coûte 8.90 €. On doit se douter qu'entre ces 2 composants de même nature, la différence est subtile, et il fallait trouver une bonne adresse pour risquer de ne pas échouer dans ce nouveau test, surtout quand une cuisson est susceptible d'avoir altéré les nuances gustatives. Ainsi, on doit dire ce qu'il en est du résultat : on est plutôt satisfait. En fait, il ne s'agit pas de critiquer la manière de faire vibrer les papilles. D'ailleurs, de ce point de vue, les concepteurs ont réussi leur coup : le fait d'avoir disposé des sortes de petits monticules de la variété, dont on a voulu faire la reconnaissance. Du coup, en plus de donner du relief à la préparation, la saveur du produit lacté se trouve concentrée, de sorte que l'on a le loisir de mieux analyser le bouquet de ce qui vient de la ferme. Vu qu'il n'y a que quelques points du plat où l'on trouve l'élément recherché, le reste (c'est-à-dire où il n'est pas) est le domaine de la tradition : dans ces derniers recoins, c'est donc le fond à la tomate, ce qui est râpé et les olives, qui règnent. Cela n'est pas désagréable, du moment que l'on aime la pizza. On peut sentir la base, heureusement, au point d'être envahissant. C'est dire si la distinction est mal aisé.

 

Pour atteindre le degré de pertinence que l'on juge acceptable, onaura complété le test entier de cet établissement par une quatrième et dernière épreuve : il s'agit de l'INDIENNE, qui comprend, sur un fond à la crème, du poulet au curry, des oignons, des poivrons et, bien sûr, du fromage. Le but de ce choix a été de voir si on parvenait à mettre en évidence la présence de l'épice, et cet objectif a été atteint. Pas comme on l'aurait souhaité, toutefois : c'est par une légère odeur, lorsque l'on ouvre le carton contenant la précieuse marchandise, que l'on parvient à détecter l'influence de la sauce jaune. Concernant la dégustation, il est très malaisé de retrouvre laa saveur en question autrement que par voie de raison, c'est-à-dire que, la texture de la volaille ne passant pas inaperçue. on se doute que, selon ce que dit le prospectus, l'assaisonnement recherché est bien là. Cela dit, en bouche, c'est l'ingrédient qui s'est développé dans la terre - l'oignon - qui donne son goût au plat. En effet, il faut dire que, à ce niveau, les concepteurs ont peut-être un peu forcé sur la dose. Pour autant, il serait injuste de dire que cela est excessif : la base d'origine lactée, ainsi que le légume vert, ou rouge, en plus de la viande, forme un corps qui, en plus de donner de la consistance au tout, apporte une note gustative certaine, qui justifie le nom de cette pizza.

 

En plus de faire preuve d'originalité, avec des ingrédients que l'on ne retrouve pas partout, ces heureuses expériences font dire que l'on tient, là, une très bonne adresse.

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 15:05

A l'occasion du premier volet de ce test, le plus intéressant est dedécrire le service, car, pour cet essai, le plat choisi ne convenait pas. Il a été question de la préparation appelé BROUSSE, evec, pour être plus en accord avec la tradition, de l'emmental. Le but de cette épreue était de définir un goût spécifique au produit-phare de cette composition. Force est de constater que la magie n'est pas au rendez-vous. Car le produit lacté que l'on étudie n'est qu'un dérivé (commercial, voudrait-on dire) d'une tradition corse : celle du brocciu. En l'occurrence, ce que le pizzzaïolo utilise doit être fait pour ne pas heurter les palais des consommateurs : toute puissance gustative susceptible d'être désagréable doit être suprrimée. Il n'est, donc, pas étonnant de dire qu'une certaine fadeur se dégage, ce qui est, peut-être, dû à la cuisson. Et ce, au point que l'emmentzl peut prendre l'avantage, et, bien sûr, les olives de rigueur concourent à ce succès inattendu. Face à cette platitude des stimulations des papilles, il vaut mieux se concentrer, comme on l'a dit, sur la manière dont l'établissement classe ce qu'elle propose. Ainsi, dans la section dite classique (celle qui nous intéresse), on trouve 3 prix, et, dans le cas présent, on aura payé 7.80 €. Cette catégorie, qui est facilement accessible, n'est constitué que de préparations dont l'ingrédient en plus est unique. Chose très importante (on a gardé le meilleur pour la fin) : la composition est prédécoupée, ce qui est très rare.

 

Cette deuxième fois aura été l'occasion de revisiter une recette assez commune : celle de la SAVOYARDE. Selon la nomenclature que propose l'établissement, cette pizza appartient aux "spéciales" : des compositions, à la crème ou à la tomate, comprenant 5 ingrédients en moyenne. Dans cette catégorie, toutes les compositions proposées sont à 8.80 €. Celle qui, dans le cas présent, a été testée est pourtant commune, c'est-à-dire que de nombreux établissements la comptent parmi les recettes qu'ils ont l'habitude de préparer. Dans cet ordre d'idées, cela pourrait bien devenir un étalon de remplacement, ou, même, principal, pour comparer les différentes pizzerias entre elles, car, de ce plat se dégage une alchimie qu'on retrouve rarement ailleurs. Il s'agit de faire ressortir puissamment le goût de la crème, alors que ce n'est qu'une base. Il est difficile de savoir si ce sont les lardons, les pommes de terre, le reblochon ou l'emmental, qui permet la mise en valeur surprenante de la note de fond. Déjà, il est peu problable que ce soit le dernier ingrédient cité soit la réelle cause, bien que la conjonction de produits lactés soit intéressante. Mais, là, le fromage de montagne doit être plus adéquat. Enfin, on doit ajouter que, si les tubercules sont probablement neutres, la viande sait se faire discrète, pour ne pas donner une saveur carnée trop prononcée.

 

Compte tenu de ce qu'on choisi, dans les volets précédents de ce test, on a jugé bon de présenter cette troisième classe de pizzas : celles que l'on appelle les "suprêmes". En l'occurrence, le choix s'est porté sur la SUPREME BARBECUE, avec la sauce du même nom, des oignons, de la viande hachée et le traditionnel fromage : ces recettes plutôt élaborées sont à 9.80 €. Pour apprécier la composition à sa juste valeur, un préalable est requis : il faut aimerle liquide sirupeux dont on se sert pour badigeonner les pièces de boeuf (ou autres produits de boucherie) que l'on destine aux grillades. Car, alors, il n'y a pas de raison de ne pas être séduit, puisque la saveur aigre-douce de ce coulis correspond parfaitement à celle des légumes. Ainsi, l'harmonie qui se dégage de l'union de ce binôme se permet de donner à l'ensemble un goût puissant, qui, si la condition énoncée plus haut est satisfaite, ne peut que plaire aux papilles. On aura remarqué qu'il y a, dans ce produit, un autre élément qui a son mot à dire (d'ailleurs, on souligne souvent sa force). Il se produit, donc, une évidente concurrence entre ce que l'on tire de l'animal et l'alliance que l'on a décrite. On a la chance, ici, que les deux notes en question ne parviennent pas à s'effacer l'une l'autre. Du coup, contrairement à d'autres entrées que propose le prospectus, on a le plaisir de trouver une cuisine riche gustativement.

 

Pour ce dernier essai dans cet établissement, on a choisi LA recette la plus spécifique. Comme cela est censé résulter d'un choix particulier du pizzaïolo de la maison, il ne faut pas s'étonner qu'elle fasse partie de la catégorie la plus élaborée : celle des pizzas dites suprêmes. En l'occurrence, il s'agir de la SUPREME MIA, avec, sur un fond à la tomate, des aubergines, des poivrons, des oignons, de la viande hachée, des champignons frais et du chèvre ; tout cela vaut, donc, 9.80 €. Pour une composition aussi complète, c'est la déception qui marque la dégustation. En effet, c'est surtout l'aubergine qui emporte la mise. Parmi les légumes, il n'est pas tellement étonnant que celui qui est violet s'impose : c'est sa nature d'être très goûteux. Mais, quand on sait que, même en face de l'ingrédient carné, c'est le végétal qui l'emporte, il y a de quoi se poser des questions. Ainsi, on en déduit que ce qui vient du jardin est sureprésenté. Cela se comprend, car, si le produit de boucherie était aussi puissant gustativement, on parlerait, peut-être, de moussaka, bien que cela ne soit pas proposé. Du coup, il est un peu dommage qu'un plat qui, en théorie, est propre à ce restaurant - uniquement -, se solde par une seule impression, au niveau des papilles. Toutefois, ce qui permet de distinguer ce qui est proposé est la présence de nombreuses variétés horticoles, même si on les sent pas toutes.

 

 

En conclusion, on retiendra que cet établissement se remarque car c'est l'un des rares (pour ne pas dire le seul) à prédécouper les pizzas. Les prix très raisonnables en font une bonne adresse

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 15:02

Pour se mettre, au mieux, dans le bain de ce nouveau test, on a choisi une pizza dont le nom semble spécifique à cet établissement : LA ROBS. Il n'est pas intéressant de se demander si le patron s'appelle Robert, mais il est important d'en connaitre les ingrédients : il y a , sur un fond à la crème, des tomates en rondelles, du roquefort, du chèvre, de l'ail, et - bien sûr - du fromage (râpé, très certainement). Alors, au niveau du goût, il n'y a rien à dire : tout est bien là. La préparation a une très légère saveur d'ail, qui sait très bien s'effacer, à partir du moment où on croque dans le corps du plat. La nuance piquante de ce condiment est certainement renforcée par la présence du roquefort, qui, par ailleurs, est bien discret, visuellement, à la différence du chèvre. En effet, ce dernier produit lacté a une douceur adéquate, pour faire sentir que la recette est largement axée sur ce genre d'aliment séché. Surtout, il faut dire que la composition est livrée dans un sac isotherme ; il est très incertain que cela ait une incidence significative, car d'autres déploient des moyens autrement plus conséquents, sans que, pour autant, le résultat soit flagrant. Toutefois, on souligne, par là, la qualité du service : en plus, dans chaque boîte, il y a un petit sachet contenant un prospectus, deux doses de piment, et un magnet pour le frigo. Cela apporte une touche de sérieux, et, pour 10 € le tout, on peut se réjouir de la bonne affaire. Enfin, on rajoutera (cela arrive au mauvais moment) que les tomates sont débitées en dés.

 

La bonne lancée inaugurée avec le premier volet du test de cette enseigne peut se poursuivre dès lors que l'on s'intéresse à ces pizzas dites TRADITIONNELLES, toutes au prix de 8.50 €. Celles-ci n'ont pas vraiment de nom spécifique : d'ailleurs, pour cette épreuve, on étudie une composition appelée OIGNONS + CREME + FROMAGE, à laquelle on a rajouté de l'ail, de l'huile d'olive et de la marjolaine. Bref, "elle a tout d'une grande", et, si l'on peut reprocher quelque chose (mais cela revient à pinailler), on peut dire qu'une dénomination originale aurait été appréciée, car, avec autant d'ingrédients, il est peu probable que l'on retrouve la recette partout. Ce n'est, certes, pas à cela qu'il faut s'attacher, et penser, plutôt, que cela fait trois condiments, et qu'il est intéressant de voir lequel s'impose. Cela dit, au goût, il est assez difficile de déceler la saveur piquante de l'ail ; cela devient quasiment impossible (sauf, peut-être, pour un spécialiste des herbes aromatiques) quand il s'agit de la marjolaine, puisque cela est beaucoup moins courant dans la cuisine. Du coup, l-oignon peut s'exprimer librement, d'autant que la préparation est parsemée de cela avec des gros bouts : cela confère au tout une certaine douceur, puisque, bien sûr, ces légumes sont cuits. Cela dit, il n'y a pas, ici, d'effluve gustative plus délicate que celle de la crème, le fromage sachant rester discret. Enfin, en que qui concerne l'huile, qui est accompagné d'olives véritables, on voit sa présence, en remuant le film plastique.

 

Pour cette troisième fois, on a cru bon tester une autre catégorie : celle des CLASSIQUES, à 9 €. Parmi les recettes proposées, dont la plupart n'ont pas de nom spécifique, le choix s'est porté sur la pizza appelée ROQUEFORT + POIVRON + FROMAGE, en pensant que les deux saveurs spécifiques sont assez opposées pour que la composition soit originale. Mais, on peut être quelque peu déçu, en s'apercevant que la variété spéciale auvergnate est peu présente : dans un sens, cela mérite d'être bien perçu, car il y a fort à parier que la saveur puissante de ce produit lacté aurait éclipsé celle des légumes. il est vrai que, même si ceux-ci sont largement présents, et donnent de belles couleurs à la composition, la note gustative qu'ils apportent n'est, déjà, pas saillante, en bouche. Du coup, il est probable que cette dernière nuance se serait effacé, si on avait eu la main lourde. En effet, cette fragilité dans l'excitation des papilles est déjà bien éprouvée par ce simple ingrédient traditionnel qu'est le fromage, qui est bien différent du roquefort (qui - on le comprend alors - porte bien son nom). Le goût doux de que d'aucuns appellent de l'emmental râpé parvient presque à faire oublier celui des végétaux, qui, après une cuisson, est bien mis à mal. Bref, dans le cadre d'une pizza (si l'on peut dire), cela se marie très bien avec le fond tomate. Il faut signaler, quand même, que le tout est étrangement épicé.

 

 

Pour l'instant, rien ne permet de pointer un quelconque défaut (cela n'arrivera sans doute pas, puisque l'enseigne semble détenir la clé du succès), surtout que le service est rigoureux.

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