Il le dire tout de suite : cette étude consiste a détaillerles activité de la nébuleuse Bouygues : celle-ci détient plus de 96% des actions du Groupe en questin. Cela dit, l'analyse ne se fera pas à échelle chirurgicale, car il s'agit, quand même, d'un mastodonte : il rassemble 66.500 répartis dans plus de 50 pays (d'ailleurs, à cette occasion, il faut signaler l'absence de l'entreprise des marchés brésilien, russe ou japonais). Créée en 1929, la socièetè initiale s'occupait d'exploiter un brevet relatif au bitume : du coup, tout s'est articulé autour des métiers concernant la route - leur construction, leur maintenance... Paralllèlement à cette définition clarifiée du domaine d'expertise, on ne peut s'empêcher de faire remarquer que l'espace colonial français a donné un important coup de pouce à l'agent économique auquel on s'intéresse : en effet, on a pu y multiplier les implantations, qui ont été la base de la croissance future. Par la suite, donc, il a été facile de racheter à tour de bras des concurents, ce qui explique le degré d'internationalisation de la structure.
Mais pas seulement. Avec cette stratégie de croissance externe, on en a profité pour mettre en oeuvre l'intégration verticale, c'est-à-dire que l'on a racheté fournisseurs et clients, dans le but de contrôler toute une chaîne de production. Par exemple, cette dynamique aboutit, à la fin des années 92, au rachat de nombreuses carrières d'extraction. Finalement, on a des compétences dans le génie civil, l'aménagement urbain, mais aussi l'étanchéité, le ferroviaire, la vproduction puis la vente, la signalisation routière et les pipeline. Au total, on en est arrivé à réunir 800 sites dédiés aux travaux et 1400 que l'on voue à la mise au point des matériaux. Lee tout génère, en 2012, un chiffre d'affaires de 13.036.000.000 € réalisés principalement en France.