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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 08:30

S'intéresser à la biographie de cet acteur est intéressant, dans le sens où il est considéré comme un "monstre sacré" du cinéma britannique. Déjà, il faut dire qu'il appartient, initialement, plutôt à la périphérie qu'au coeur de ce système : en effet, il naquit, le 2 août 1932, en Irlande, dans le Connémara. Le lieu précis de sa venue au Monde n'est pas divulgué : c'est dire si on ne peut rien savoir sur son enfance, si ce n'est qu'il l'a vécue dans son île natale. Par déduction, on peut savoir que l'enfant est d'un naturel précoce, et qu'il a vite saisi qu'il lui fallait être dans une métropôle digne de ce nom. La plus proche de lui étant Londres, il s'y rend, alors qu'il n'a que 14 ans, et, dans un de ses satellites (Leeds), il se fait embaucher par un journal, comme garçon de bureau. Il y fait une rencontre intéressante, puisque cet ami l'encourage à faire du théâtre, et cela lui plaît au plus au point. Mais, avec son jeune âge, il n'est pas encore vraiment libre : l'échéance du service militaire arrive, et, en 1950-1951, on retrouve sa trace dans la Royal Navy britannique, ce qui assez étonnant pour un Irlandais. Il revient aux commandes de sa vie alors qu'il a 20 ans, et on lui octroie une bourse, pour prendre des leçons d'art dramatique. Son jeu est tellement bon qu'il devient membre actif d'une prestigieuse compagnie de théâtre. C'est donc à partir de 1954 que, pendant 5 ans, il forge, par l'expériense, son excellence professionnelle, grâce à laquelle il est sacré meilleur acteur de la scène anglaise. C'est donc assez naturellement que, en 1960, à l'âge de 28 ans, il passe des planches au grand écran. Vu la reconnaissance mondiale qu'il reçoit par la suite, son arrivée dans les salles obscures est donc tardive, par rapport à certains, d'autant que le nombre de ses collaborations n'est pas si énorme qu'on pourrait le croire.

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 20:33

A la fin du mois de février, la France comptait 3.18 millions de chômeur, en hausse de 0.6 % par rapport au mois précédent. Toutefois, on pensait dépasser le record de janvier 1997, ce qui n'est pas le cas.

D'abord, il convient de souligner que l'on voit les effets des diverses politiques ayant eu pour pour but de contrer le chômage. Ainsi, la situation n'est pas si dramatique, dans le sens où ce que nos dirigeants proposent est plutôt efficace : la solution n'est donc pas loin, et à notre portée. Il est important de le dire, car on pourrait croire que l'on est pris dans une dynamique continentale impossible à ralentir : peut-être que, comme le gouvernement actuel le promet, on parviendra à inverser la tendance avant la fin de l'année. Reste que l'on frôle un plafond historique, et que le mouvement est mou, car, si l'on a eu la chance de ne pasfixer un niveau inédit, on va dépasser le pic qui avait  été atteint le mois prochain, à moins d'une décélération spectaculaire, inespérée, et qui apparaîtrait comme une bénédiction ; ou - pourquoi pas - d'un reflux prématuré. Il est donc difficile de ne pas émettre de critiques, et, en fait, notre tort est peut-être de se croire trop à l'abri : selon ce comportement, on darait, à celui qui imagine un scénario catastrophe, et qui propose un remède de cheval, de ne pas s'en faire, qu'il n'est pas la peine d'aller jusque là. Dans la configuration choisie, peut-être les efforts suffiront, mais c'est ce qu'il faudrait faire, selon certains indices.

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 08:34

Les plus récentes statistiques dont on dispose sont celles qui concernent la semaine comprise entre le 11 et le 17 mars :

1. Macklemore feat. Ryan Lewis, avec Thrift Shop ; =

2. Stay, par Rihanna feat.Mikky Ekko ; =

3. Maître Gims, avec J'me tire ; Nouvelle entrée

4. Locked out of heaven, de Bruno Mars ; +2 places

5. Adèle, avec Skyfall ; -1 place
Ce bout de classemment concerne les singlles. on passe aux albums :
1. Les Enfoirés, avec La boîte à musique des Enfoirés ; Nouvelle entrée
2. The next day, de David Bowie ; Nouvelle entrée
3. M Pokora, avec A la poursuite du bonheur Tour - Live à Bercy ; -2 places
4. Génération Goldman, d'un collectif disparate ; -2 places
5. Rihanna, avec Unapologetic ; -1 place
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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 19:47

Apparement, beaucoup de monde fréquente cet établissement. Au point de devoir faire face à une attente interminable d'une heure ! De quoi penser que l'on fait tout pour dissuader ceux qui comandent de le faire, parce qu'ils hbitent trop loin du restaurant. Cela ne serait pas très commercial, et, bien sûr, il n'en est rien. Finalement, le livreur est arrivé  comme couvenu, en s'excusane d'avoir mis autant de temps. Et, vuque n'était pas sa faute, il a expliqué le faute de ce retard : le problème serait le manque d'effectif à scooter. Le comble aurait été de s'énerver, voire de refuser de payer, puisque,, au téléphone, le preneur de commande avait prévenu, et le plat arrive convenablement tiède. S'il est important de signaler ce désagrément, qui devrait être bientôt supprimé, puisqu'il est identifié, il est question de présenter une composition culinaire. En l'occurrence, il s'est agi de la BOLO PARME qui, pour 10 €, rassemble de la sauce tomate, de la viande hachée et du parmesan : on a voulu retrouver le bon goût de la bolognaise. Le problème est que l'autentique recette de ce liquide comprend plus d'ingrédients, comme des oignons, par exemple. Il faut croire, en fait, que ce rôle revient à ce qui est carné : peut-être a-t-on fait mariné cet élément dans le jus de tout ce ce manque, car la saveur piquante est assez bien restituée. Et il vaut mieux, car, concrètement, sur le lit rouge du font, il n'y a que de la chair animale, si bien que les traditionnelles olives ne sont pas présentes. Ainsi, on a un goût assez homogène, d'autant que le fromage, qui est blanc, ne se distingue pas, ni à l'oeil, ni en bouche. A se demandé s'il est a bien été ajouté, car les épices couvrent la nuance.

Comme on a pu le prévoir, les petits tracas liés au manque de livreurs ont été résolus : il n'y a plus d'attente interminable. Certes, cela ne concerne qu'une seule commande, et on ne peut assurer que tout se passe bien à chaque fois, mais il sera sûrement intéressanrt de dire que l'on a oublié, au téléphone, de dire quand arriverait la livraison. Cela n'est vraiment pas grave, mais, au bout d'un moment, il faut bien rappeler, pour s'assurer que l'on a pas été oublier : sauf que, avant même d'avoir composé le numéro, le livreur était là : c'est dire si le problème appartient au passé. Il faut quand même dire le choix que l'on a fait : on a voulu goûter la FROMAGERE+, qui, pour 10 €, mélange, sur un lit de crème, des oignons, du roquefort, de la brousse, du chèvre, du fromage dont on se sert traditionnelement pour gratiner (probablement de l'emmental), de la persillade et du parmesan. Ainsi, cette composition s'apparente à une recette qui ne propose que 4 variétés de produits laitiers, dans laquelle il est souvent difficile de distinguer les nuances, car, en fondant, les produits dont les Français raffolent formes une pâte assez homogène, si bien que la saveur du légume que l'on a cité est la seule à trancher sur ce genre de croûte. Bien sûr, parfois, une même espèce est concentrée, et on perçoit un goût différent ; mais la grande force de ce genre de plats est d'accorder le liquide épais qui forme le fond, avec ce qui est dessus. Et, en l'occurrence, le mariage est très bien réussi. On est même obligé de supposer qu'un ingrédient est en surrabondance, parce que la garniture semble tellement riche que l'on peut croire qu'elle va couler. Du coup, cela forme un tout qui ne ressemble à aucune pizza, : s'il n'y aucun élément inhabituel n'est présent, cette combinaison mérite d'être goûtée.

Ne cachons rien : pour ce troisième test, on a choisi une rectte des plus classiques : la QUATRE FROMAGES, avec - comme on peut s'en douter - du chèvre, de la mozzarella, du roquefort et du fromage râpé, qui doit être de l'emmental : le tout pour 9 €. Cette composition n'a rien de novateur, car elle existe depuis longtemps, sans que cela soit un plat italien, car 3 des variétés citéesne viennent pas de la péninsule en forme de botte. En revanche, l'idée d'opposer la saveur d'un condiment issu d'un légume rouge (qui, en l'occurrence, forme le fond) avec la douceur dess produit laitiers qui sont dessus. Cela est l'intérêt théorique de la combinaison, et c'est d'aillleurs pour cela que l'on a fait ce choix : après avoir constaté l'excellent résultat de l'alliance de la crème et des préparations que l'on affine dans des caves. Il s'était donc ouvert une période stratégique, pendant laquelle il fallait saisir l'occasion de faire une conparaison, et, dans cette établissement, on a pu apprécier la force de la juxtaposition des 2 tendances gustatives. Il y avait un autre écueil à contourner, et c'est principalement parce que peu de monde y arrive que l'on ne choisit que rarement la pizza que l'on présente : c'est que, bien souvent, la chaleur du four mélange les genres, et il devient difficile de distinguer les différentes espèces. Ici, outre le fait que l'on avait pas l'intention de faire cette analyse, on a plutôt bien réussi à déjouer cette difficulté physique : en optant pour le dépôt de grosses tranches blanches autour du centre, on assure une certaine présence à chaque nuance, bien que, en procédant ainsi, on n'a pas perçu la puissance de ce qui vient d'Auvergne, parce que la matière sèche issue de cette région n'est pas conditionée en cylindre.

Pour le quatrième et dernier test de cet établissement, on a choisi une recettes des plus classiques : la pizza REBLOCHON, avec, sur un lit de crème, des oignons frais, des lardons, des pommes de terre, du reblochon et le traditionnel fromage de couverture ; le tout vaut 10 €.Cette ultime épreuve a été riche d'enseignements.  D'abord, parce que l'on a pu constater que les probblème relatif à la livraison ne sont pas résolus : celle-ci devait intervenir 40 minutes après l'appel ; ce ne fut pas le cas. Il faut dire que, même au téléphone, le preneur de commande était préoccupé : pas de formule de politesse pour terminer la conversation ; peut-être même que le livreur s'est un peu perdu. Voilà de petits riens (encore qu'un plat qui arrive très tiède peut en rebuter certains) qui laissent penser qu'un des membres de l'équipe ne s'est pas présenté à son poste. Ensuite, on peut passer à la dégustation, qui n'est pas exceptionnelle, mais qui n'a rien a envier aux autres variantes, ailleurs. On sent bien le produit qui donne son nom à la préparation. Ce que l'on peut remarquer, c'est la discrétion du traditionnel râpé, dont on recouvre les combinaisons. Cette dernière phrase est une transition adéquate pour en arriiver aux olives, qui ne font pas partie des ingrédients. Là, il faut en parler, car il y a vraiment un choix délibéré de ce restaurant de ne pas en mettre, ce qui peut apparaître comme un sacrilège. En fait, parmi les choix que l'on a fait, on a trouvé le fruit que sur la "4 FROMAGES", et il ne s'agit donc pas d'une négligence, ou d'une lacune, mais d'un choix. Il est vrai que la saveur des végétaux en question n'a pas beaucoup d'influence. Cela dit, ce que l'on cuisine doit correspondre à des réalités.

On est en présence d'unétablissement qui n'a rien à envier à ses concurrents, dans le sens où sa carte est plutôt originale. En revanche, le service qu'il rend est incomplet, puisqu'il y'a des retards de livraison.

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 16:26

Voici une production de l'année 1987, qui a dû contribuuer à créer de la richesse partout où il est passé. En effet, il a remporté 9 Oscars, entre autres récompenses. Malgré ce succès exceptionnel, son casting ne compte, comme nom célèbre, que celui de Peter O'Toole, ce qui a dû aider à susciter l'intérêt des académies cinématographiques. Peut-être que la grande force de ce long-métrage est d'avoir fait se rencontrer des gens de 4 nationalités différentes. Il convient de penser, aussi, au scénario, qui a l'intérêt de parler d'autre chose quie d'amour : il est question de pouvoir. Et de déchéance, pour être plus précis. Ainsi, on voit que les leaders que l'on a destitué brutalement sont, en général, toujours traités avec les égards qui leur étaient dû, dans le régime qui les remplace, comme si une aura de respect les suivaient (cela est sûrement en rapport avec leur compte en banque). Grâce ou à cause de cette contuinuité du comportemement déférent des autres, ils se peut qu'ils soient illusionnés, parce que l'on fait tout pour leur faire croire qu'ils sont toujours des personnages importants, alors que, compte tenu des bouleversements politiques récents, qu'ils n'ont peut-être pas saisi comme il se doit - puisque son ancienne majesté voulait qu'il soit enfermé dans une tour d'ivoire, ils ne sont, logiquement, plus rien. Il faut dire que, dans ce cas, s'opposent deux tendances de l'être humain : celle qui consiste à se trouver en pointe de l'actualité, et qui consiste à tourner des pages de vie à un rythme effréné ; et celle qui consiste à s'attacher aux repères auxquels on a toujours été habitué. Et, chacun peut être animé par ces 2 tendances : tout dépend de ce que l'on veut voir évoluer et de ce que l'on veut préserver. Ainsi, tout cela est très subjectif, et un choix s'impose : croire en l'avenir ou rester dans le présent qui perpétue le passé.

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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 20:46

L'île de Chypre est sous pression de la Banque Centrale Européenne, qui lui lance un ultimatum expirant demain, dans le but de faire trouver une solution à la crise locale de la dette. C'est une condition à l'aide.

Ce petit bout de terre n'est pas la Grèce, et sa perte ne serait pas un cataclysme terrible, dit-on. Aussi, certains en viennent à la conclusion qu'il serait une solution d'arrêter d'aider ; c'est d'ailleurs la menace de la BCE. Mais, il est préférable de croire que cela n'est que du bluff : les voix de ceux qui réagissent de manière égoïste sonne plus fort que celle des partisans de la solidarité. Premièrement, il serait quelque peu discriminatoire de sauver les grosses cylindrées, et pas les petites : Malte - ou d'autrespourrait être découragée par avance, et la situation serait injuste. Deuxièmement, alors que l'euroscepticisme est plus ou moins virulent dans chacune de nos 27 nations, le départ de n'importe lequel de nos partenaires pourrait marquer le début d'un processus d'individualisation à l'échelle continentale. Quoi qu'il en soit réellement, la fin de notre aventure dans le même bateau se profile toujours plus. Il se peut que cela soit la faute de ceux qui ont le plus de poids. Ces derniers, parce qu'ils veut trop tirer la couverture à eux-mêmes, feraient trop sentir à la périphérie qu'elle n'est pas essentielle, et qu'elle n'est là que pour permettre aux entreprises des plus forts de multiplier leurs profits.

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 20:17

Les 2 papes - François et Benoît XVI - se sont rencontrés, puis ont déjeuné ensemble, dans la résidence de Castel Gandolfo. Par le passé, Boniface VIII avait fait enfermer Célestin V.

Ainsi, la rencontre est inédite, dit-on, bien que l'on ne puisse savoir si, en 1294, le prédécesseur et son successeur n'ont pas échangé quelques mots, sans que personne n'ait jugé utile de le noter (en effet, à l'époque, on ne devait pas avoir saisi l'importance de tout coucher sur le papier). Autrement dit, d'après les témoignages des siècles antérieurs au nôtre - le XXIème -, jamais le Saint-Père n'a su qui prendrait sa suite, puisque la mort empêchait une réunion comme celle-ci. Il faut dire que, au Moyen-Age, les gens avaient plus de raisons de se détester. Malgré tout, il faut souligner que, peut-être, un échange de points de vue n'aurait pas eu lieu si le nouveau chef de l'Eglise n'était pas aussi ouvert d'esprit. Rien que le surnom qu'il a choisi est révélateur de sa volonté de ne pas refuser la réalité. En effet, les ecclésiastiques ont l'habitude de reprendre le prénom de ceux qui les ont précédé. Cela est une drôle d'habitude. Peut-être veut-on préserver les croyant de prénoms jugés exotiques : Jean Paul II s'appelait Karol ; cette désignation n'était peut-être pas acceptable. Celui qui vient de renoncer à sa charge était Joseph ; cela n'était peut-être pas assez universel. François est un sobriquet reconnaissable par tous. A quand le pape Steeve ?!

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 08:18

Du 11 au 17/03/13, le gros des revenur des librairies étaient assurés par ces livres :

1.   Demain, de Guillaume Musso, chez XO (roman)

2.   7 ans après, de Guillaume Musso, chez Pocket (roman)

3.   Cinquante nuances plus claires, d'E. L. James, chez Lattes (roman)

4.   Cinquantes nuances de Grey, d'E.L. James, chez Lattes (roman)

5.   Fleur de tonnerre, de Jean Teulé, chez Julliard  (roman)

6.   Sous haute tension, de Harlan Coben, chez Pocket (roman)

7.   Cinquantes nuances plus sombres, d'E.L. James, chez Lattes (roman)

8.   Indignez-vous !, de Stéphane Hessel, chez Indigène (essai)

9.   Un sentiment plus fort que la peur, de Marc Lévy, chez Robert Laffont (roman)

10. Si c'était à refaire, de Marc Lévy, chez Pocket (roman)

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 21:07

Parce que Nicolas Sarkozy a été mis en examen dans le cadre de l'affaire Bettencourt, l'UMP s'est permis d'invectiver l'appareil judiciaire, ce que dénonce  le gouvernement socialiste.

Si on s'en tient à ce que disent les plus forts du moment, il est effectivement incorrect de faire croire que les magistrats abusent de leur pouvoir. D'autant que, même s'il est vrai que le retour sur les irrégularités de la Droit est un peu brutal,  la France devait s'attendre à ce que l'on cherche à clarifier la situation. Car, si l'on sait que la campagne présidentielle de 2007 a été financé en partie par l'héritière du Groupe L'Oréal, on ne sait pas s'il y a eu conspiration, ou si l'ex-trésorier du parti, qui, actuellement, forme l'Opposition,  a agi seul : peut-être que celuui-n'a été qu'un ressort dont on s'est servi pour mieux propulser à l'Elysée le leader politique que tout un bord soutenait. Si on est convaincu par cette dernière hypothèse, il est vrai qu'une procédurre judiciaire peut paraître superflue. Cependant, il y a toujours des gens qui n'y croient pas, et, par respect pour eux, il est honteux de leur refuser leur droit à la vérité. Il y a donc un fanatisme anormal qui meut ceux qui tentent de riduciliser les tribunaux. Le seul élément qui justifie un scandale est le fait que l'arrestation ait eu lieu à Bordeaux.Pouruoi cette ville, dont le maire est Alain Juppé, a été désignée ? Car le provincial voulait la tête de son ancien dirigeant.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 13:04

Cet intitulé est très trompeur, puisque le nom de la ville qui héberge ce club n'y figure pas. Il s'agit, en fait, de Komotini, une cité de 53.000 habitants, située au Nord-Est du pays. Du coup, en poursuivant un chemin direct vers l'Orient, on finit par passer en Turquie, après 77.159 mètres. Si c'est du Pöle que l'on veut se rapprocher, il suffit de 15.443 longueurs, pour franchir la frontière bulgare. Enfin, 379 km sont nécessaires pour rejoindre, en suivant la direction du Sud-Ouest, et en passant par la mer, la capitale. L'équipe que l'on étudie existe depuis 1963, et, si elle n'a pas de palmarès, un stade de 6.220 places, appelé simplement le Komotini Stadium.

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