Apparement, beaucoup de monde fréquente cet établissement. Au point de devoir faire face à une attente interminable d'une heure ! De quoi penser que l'on fait tout pour dissuader ceux qui comandent de le faire, parce qu'ils hbitent trop loin du restaurant. Cela ne serait pas très commercial, et, bien sûr, il n'en est rien. Finalement, le livreur est arrivé comme couvenu, en s'excusane d'avoir mis autant de temps. Et, vuque n'était pas sa faute, il a expliqué le faute de ce retard : le problème serait le manque d'effectif à scooter. Le comble aurait été de s'énerver, voire de refuser de payer, puisque,, au téléphone, le preneur de commande avait prévenu, et le plat arrive convenablement tiède. S'il est important de signaler ce désagrément, qui devrait être bientôt supprimé, puisqu'il est identifié, il est question de présenter une composition culinaire. En l'occurrence, il s'est agi de la BOLO PARME qui, pour 10 €, rassemble de la sauce tomate, de la viande hachée et du parmesan : on a voulu retrouver le bon goût de la bolognaise. Le problème est que l'autentique recette de ce liquide comprend plus d'ingrédients, comme des oignons, par exemple. Il faut croire, en fait, que ce rôle revient à ce qui est carné : peut-être a-t-on fait mariné cet élément dans le jus de tout ce ce manque, car la saveur piquante est assez bien restituée. Et il vaut mieux, car, concrètement, sur le lit rouge du font, il n'y a que de la chair animale, si bien que les traditionnelles olives ne sont pas présentes. Ainsi, on a un goût assez homogène, d'autant que le fromage, qui est blanc, ne se distingue pas, ni à l'oeil, ni en bouche. A se demandé s'il est a bien été ajouté, car les épices couvrent la nuance.
Comme on a pu le prévoir, les petits tracas liés au manque de livreurs ont été résolus : il n'y a plus d'attente interminable. Certes, cela ne concerne qu'une seule commande, et on ne peut assurer que tout se passe bien à chaque fois, mais il sera sûrement intéressanrt de dire que l'on a oublié, au téléphone, de dire quand arriverait la livraison. Cela n'est vraiment pas grave, mais, au bout d'un moment, il faut bien rappeler, pour s'assurer que l'on a pas été oublier : sauf que, avant même d'avoir composé le numéro, le livreur était là : c'est dire si le problème appartient au passé. Il faut quand même dire le choix que l'on a fait : on a voulu goûter la FROMAGERE+, qui, pour 10 €, mélange, sur un lit de crème, des oignons, du roquefort, de la brousse, du chèvre, du fromage dont on se sert traditionnelement pour gratiner (probablement de l'emmental), de la persillade et du parmesan. Ainsi, cette composition s'apparente à une recette qui ne propose que 4 variétés de produits laitiers, dans laquelle il est souvent difficile de distinguer les nuances, car, en fondant, les produits dont les Français raffolent formes une pâte assez homogène, si bien que la saveur du légume que l'on a cité est la seule à trancher sur ce genre de croûte. Bien sûr, parfois, une même espèce est concentrée, et on perçoit un goût différent ; mais la grande force de ce genre de plats est d'accorder le liquide épais qui forme le fond, avec ce qui est dessus. Et, en l'occurrence, le mariage est très bien réussi. On est même obligé de supposer qu'un ingrédient est en surrabondance, parce que la garniture semble tellement riche que l'on peut croire qu'elle va couler. Du coup, cela forme un tout qui ne ressemble à aucune pizza, : s'il n'y aucun élément inhabituel n'est présent, cette combinaison mérite d'être goûtée.
Ne cachons rien : pour ce troisième test, on a choisi une rectte des plus classiques : la QUATRE FROMAGES, avec - comme on peut s'en douter - du chèvre, de la mozzarella, du roquefort et du fromage râpé, qui doit être de l'emmental : le tout pour 9 €. Cette composition n'a rien de novateur, car elle existe depuis longtemps, sans que cela soit un plat italien, car 3 des variétés citéesne viennent pas de la péninsule en forme de botte. En revanche, l'idée d'opposer la saveur d'un condiment issu d'un légume rouge (qui, en l'occurrence, forme le fond) avec la douceur dess produit laitiers qui sont dessus. Cela est l'intérêt théorique de la combinaison, et c'est d'aillleurs pour cela que l'on a fait ce choix : après avoir constaté l'excellent résultat de l'alliance de la crème et des préparations que l'on affine dans des caves. Il s'était donc ouvert une période stratégique, pendant laquelle il fallait saisir l'occasion de faire une conparaison, et, dans cette établissement, on a pu apprécier la force de la juxtaposition des 2 tendances gustatives. Il y avait un autre écueil à contourner, et c'est principalement parce que peu de monde y arrive que l'on ne choisit que rarement la pizza que l'on présente : c'est que, bien souvent, la chaleur du four mélange les genres, et il devient difficile de distinguer les différentes espèces. Ici, outre le fait que l'on avait pas l'intention de faire cette analyse, on a plutôt bien réussi à déjouer cette difficulté physique : en optant pour le dépôt de grosses tranches blanches autour du centre, on assure une certaine présence à chaque nuance, bien que, en procédant ainsi, on n'a pas perçu la puissance de ce qui vient d'Auvergne, parce que la matière sèche issue de cette région n'est pas conditionée en cylindre.
Pour le quatrième et dernier test de cet établissement, on a choisi une recettes des plus classiques : la pizza REBLOCHON, avec, sur un lit de crème, des oignons frais, des lardons, des pommes de terre, du reblochon et le traditionnel fromage de couverture ; le tout vaut 10 €.Cette ultime épreuve a été riche d'enseignements. D'abord, parce que l'on a pu constater que les probblème relatif à la livraison ne sont pas résolus : celle-ci devait intervenir 40 minutes après l'appel ; ce ne fut pas le cas. Il faut dire que, même au téléphone, le preneur de commande était préoccupé : pas de formule de politesse pour terminer la conversation ; peut-être même que le livreur s'est un peu perdu. Voilà de petits riens (encore qu'un plat qui arrive très tiède peut en rebuter certains) qui laissent penser qu'un des membres de l'équipe ne s'est pas présenté à son poste. Ensuite, on peut passer à la dégustation, qui n'est pas exceptionnelle, mais qui n'a rien a envier aux autres variantes, ailleurs. On sent bien le produit qui donne son nom à la préparation. Ce que l'on peut remarquer, c'est la discrétion du traditionnel râpé, dont on recouvre les combinaisons. Cette dernière phrase est une transition adéquate pour en arriiver aux olives, qui ne font pas partie des ingrédients. Là, il faut en parler, car il y a vraiment un choix délibéré de ce restaurant de ne pas en mettre, ce qui peut apparaître comme un sacrilège. En fait, parmi les choix que l'on a fait, on a trouvé le fruit que sur la "4 FROMAGES", et il ne s'agit donc pas d'une négligence, ou d'une lacune, mais d'un choix. Il est vrai que la saveur des végétaux en question n'a pas beaucoup d'influence. Cela dit, ce que l'on cuisine doit correspondre à des réalités.
On est en présence d'unétablissement qui n'a rien à envier à ses concurrents, dans le sens où sa carte est plutôt originale. En revanche, le service qu'il rend est incomplet, puisqu'il y'a des retards de livraison.