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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 19:35

Voilà un article bien tardif, qui fait appel à des souvenirs. C'est ainsi que l'on revient sur le match du 15 janvier 2012, entre l'OM et le LOSC. Les photos disent à peu près tout, et il faut simplement préciser que le fumigène qui a été allumé l'a été en début de match, et qu'il a été vite éteint, sûrement pour des raisons de sécurité. C'est peut-être une des dernières torches que l'on verra, puisque, désormais, cela est interdit. C'est l'occasion de dire NON A L'INTERDICTION DE CES ARTIFICES. Même s'il y a des risques de brûlures, cela fait partie du folklore footballistique. Il conviendrait, donc, que l'on fasse des campagnes d'information répétitives. Il serait bien que, un jour, celui qui allume un feu de bengale mette des gants et d'autres protections, et que ceux qui sont autour s'écartent danss un rayon de 1 ou 2 mètres.

Du reste, on voit que la nouvelle disposition des panneaux lumineux n'était pas bonne, et on ne voyait pas grand chose, en haut du Virage, entre autres.

 

On en vient au match du 22 janvier 2012, contre Le Havre. Les photos montrent que peu de Marseillais s'étaient déplacés pour voir cette équipe de D2, qu'il aurait été mal vu de voir gagner (car c'est souvent le cas en Coupe de France, où les petite cylindrées battent les grosses).

Le fait le plus marquant est que, au début du match, au Virage Dépé, on a lâché des cotillons, qui, parfois, était de couleur. Et, comme ce jour était très venteux (au point que les courants d'air glaçaient les os des supporters), l'élément naturel s'engouffrait de derrière les travées, et ressortait par devant, faisant un véritable ventilateur pour que les petits bouts de papier s'envolent mieux, et, au Sud, certains ont dû parvenir. D'ailleurs, chez les MTP, on voulait faire un lâcher de ballons, mais cela s'est montré insurmontable/

Concernant l'éclairage, il a semblé qu'il était satisfaisant, pourtant, aucun aménagement n'a été fait, semble-t-il ; cette impression traduit le fait que l'on a pris l'habitude. Il est certain, cependant, que des investissements devront être faits, car, quand il y aur a le toit (dont les soutiens sont maintenant bien visibles, et s'élèvent plusieurs mètres au dessus de la triibune Ganay), le stade sera bien sombre, à moins que les luminaires soient installés derrière. Bref, si c'est le cas, notre tribune attendra.

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