Voici un film dont on doit se souvenir : non seulement parce qu'il est sorti en 2006, mais aussi parce que, lors de sa présentation au festival de Cannes de cette année-là, il a été l'objet d'une polémique assez vive, bien que, à cette occasion, il ait décroché le Prix d'interprétation masculine pour ses acteus principaux : Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem, et Bernard Blancan. Ainsi, tous les Français n'étaient pas d'accord avec le message de cette oeuvre, et certains auraient sûrement préféré qu'elle ne voie pas le jour. Grâce aux éléments donnés, à savoir le patronyme de ceux qui ont participé à ce long-métrace et le titre du résultat, on peut se douter qu'il s'agit de traiter du thème des étrangers, et, forcément, cela à dû choquer tous ceux qui ne les aiment pas. Voilà une pronde injustice, car ces gens, chez qui le colonisateur européen n'avait rien à faire, ont quand même été enthousias tes à l'idée l'idée d'aiider ceux qui les avait persécuté. Il est vrai que, en retour, ils ont pu bénéficier de la richesse de notre territoire, mais, au final, c'est le citoyen français "de souche" qui profite le plus de la main d'oeuvre importée. Quand on emploie cette expression entre guillemets, qui ne veut plus dire grand chose (ce n'est plus qu'un moyen de désigner un concept), on ne parle pas vraiment de ceux à qui l'on pense : en effet, on veut expliquer que ce sont les riches de France qui bénéficie de la présence des immigrés. Il faut savoir que ces derniers occupent souvent des postes dont les autres travailleurs ne veulent pas. Ainsi, les services ingrats que la société doit offrir sont assurés, et, à l'autre bout de la pyramide sociale, ceux qui ont beaucoup d'argent peuvent vivre une vie de délices, par le fait tout peut leur être apporté sur un plateau - comme l'évacuation de leurs ordures, entre autres conforts..
