Le sommet Rio + 20, c'est-à-dire 20 ans après le sommet de 1992, s'est ouvert en réunissant 130 Chefs d'Etat. Ni les USA, ni le Royaume-Uni, ni l'Allemagne n'y sont représentés, alorson n'en attend pas hrand chose.
Un bon nombre d'observateurs disent qu'un échec serait naturel ; la crise économique éclipse les préoccupations environnemental. Cela est certainement un argument destiné à camoufler l'envie ce ne pas se soucier de la Nature, ou plutôt celle de ne pas être contraint de faire plus que ce que l'on fait, car les efforts existent, et il se pourrait bien que ceux qui ne veulent pas discuter du problème en question font partie du groupe des nations les plus avancées dans le processus de conversion à l'économique verte, Cela dit, pour en revenir au cas présent, si l'on veut accréditer l'hypothèse de la supercherie, il faudrait analyser l'emploi du temps des 3 dirigeants incriminés : il s'agit de savoir si, pendant le temps où ils ne sont pas présent au rendez-vous brésilien, ils peuvent vraiment faire avancer le rétablissement du système productif de leur pays. On voudrait pouvoir dire non, surtout que, en principe, c'est à leur collaborateurs de s'occuper des questions intérieures. Même si certains s'arrogent le droit de ne pas assister à des réunions d'importance mondiale, ceux qui sont là font la majorité, et, puisque l'on a pas le choix, il est encore plus crucial de faire des choix, juste pour montrer que l'on a su se passer des absents.
