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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:54

On le sait : le secteur de l'asssurance est risqué. Surtout que, dans le cas présent, l'acteur en question n'est pas en relation directe avec le bénéficiaire, puisque sa particularité est de fournir à ceux qui veulent tenter une aventure, en tant qu'indépendant, dans ce type de business. C'est comme cela que l'on peut voir fleurir, dans les villes, des agences de courtiers. On parle, donc, de grossiste, et, pour se faire une meilleure idée de l'ampleur de ce marché, on doit dire que ceux-ci sont 16.000. Il existe, donc, une incertitude supplémentaire, mais cela est mis à profit, puisque, au final, c'est aux intermédiaires d'être sûr de leurs clients. En cela, il en résulte, contrairement à ce que l'on pourrait croire, une certaine sécurité, puisque, en cas de défaillances, des agents professionnels promettent de payer. En retour, il faut coller, du mieux que l'on peut, aux besoins du bénéficiaire : c'est pourquoi, dans le cas particulier du Groupe concerné, il a fallu fragmenter l'offre à travers un bouquet de 70 produits. Ce travail, qui se rapproche du traitement au cas par cas, est particulièrement payant, puisque, en 2010, le chiffre d'affaires a été 743.3 M€, pour un résultat - qui est la capacité de l'entité à creer de la richesse - de 79.7 M€. Ces chiffres seraient réellement intéressants, pour les dirigeants, car, au bout de 22 ans, cela pourrait être, pour eux, une véritable succes-story, si une autrre stucture ne détenait pas 50% des parts (ce qui fait de cette société une filiale). Bizarre, pour un mastodonte, qui, en étant présent dans 34 pays, rassemble, outre ses 3.750 collaborateurs, bien qu'il engrange 88% de ses recettes en France, 3 millions de personnes, qu'il console financièrement. Enfin, il faut dire qu'il les garde, en partie, dans son giron, avec 250 boutiques, dans lesquelles il articule son action autour de 8 pôles : la santé, la prévoyance, la garantie des prêts, les voyages, l'auto, la moto, le bateau et l'habitation.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:48

ANF

Sous ce sigle se cache Ateliers de construction du Nord de la France, une SIIC (Société d'Investissements Immobiliers Cotée) qui porte - on ne peut plus - mal son nom, puisque, aujoud'hui, elle s'emploie à remodeler les centres-villes de Lyon et Marseille. Il faut dire que, à ses débuts (au XIXème siècle), elle avait pour objet de commercialiser du matériel ferroviaire, et se rapprochait, donc, du secteur du génie civil. Par la suite, elle deviendra une société holding, avant de tomber dans le giron d'AXA, et, depuis 2005, du Groupe Eurazéo, qui détient 59% du capital - on étudie, par conséquent, une filiale. 

En tout, c'est-à-dire rien qu'en France, car, nulle part, il n'est fait mention de possessions à l'étranger (en cela, cette entreprise participe largement à la beauté urbaine de notre pays, en proposant des vues qui lui appartiennent : du coup, l'identité du bâti français dépend, parfois, du choix d'organisation des acteurs économiques comme celui-ci), le patrimoine locatif vaut 1.6 Mds d'euros, alors que, en 2010, le revenu total, qui provient, à 52.6 %, de baux mixtes (commerces, habitations, bureaux), et, à 47.4 %, de 158 hôtels, tous loués à l'exploitant B&B, est de 69 M, dans la même monnaie. Cete richesse, qui est générée par - tout au plus - une cinquantaine de personnes, tend à s'agrandir, en s'alignant sur les prix du marché, est un des moteur de l'inflation, puisque ce genre d'entité oblige les gens à payer un loyer, qui, toujours, est tiré vers le haut : là aussi, il est question d'une sstructure absolument capitaliste. Malgré tout, il exisste une activité de cession d'actifs, ce que, du point de vue qui nous intéresse, correspond à une déconcentration de l'argent placé dans la pierre. Comme si, après avoir ressucité de grandes cités (le concours des pouvoirs publics ne peut pas ne pas être envisagé), on acceptait d'en rendre la propriété aux habitants.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:45

On connaît bien, maintenant, le secteur dans lequel évolue cette entreprise : il s'agit, là encore, d'ingénierie et de conseil en innovation. Toutefois, la structure en question est légèrement différenrente des concurrents nationaux étudiés, ne serait-ce que par la localisation : ici, le siège social se trouve à Lyon, alors que, pour les autres, il est situé en région parisienne, ce qui, peut-être est un signe d'internationalisation. Du coup, la dimension provinciale du présent Groupe fait que, peut-être, le marché français, est mieux couvert ; d'ailleurs 87.5% du chiffre d'affaires (qui, pour 2009, s'est élevée à 332.688.000 € ; n°3 de l'Hexagone, au mieux) est réalisé dans notre territoire. Le reste (12.5%) concerne les activités réalisés chez nos partenaires européens, surtout en Allemagne, auxquelles il faut ajouter celles qui ont été réalisées au Maroc et en Inde ; ce qui fait que, en tout, il y a 5.500 collaborateurs. Dans ce type de business, ce dernier pays revient souvent : il y a, donc, lieu de croire que l'on est, là, en présence d'un relais de croissance incontournable en Asie. A cet égard, il faut rappeler que les Indiens ont une bonne réputation, au niveau de leurs connaissances informatiques. Car c'est surtout ce genre de technique à laquelle on a recours. En effet, si l'entité travaillle avec des partenaires prestigieux, l'expertise en question porte sur le mobiler ou l'interface homme-machine. Ainsi, elle n'est pas une actrice de gros oeuvre, et cela lui permet de se retrouver dans tous les domaines industriels, au premier titre desquels on citera l'aéronautique, grâce auquel on tire 24% des recettes ; mais, on évoquera, aussi, le ferroviaire, puisque sont pris en charge l'amélioration des réseaux espagnols et italiens. Ce dernier chantier est gigantesque, et devrait permettre à ce nouveau protagoniste de passer à une vitesse supérieure, car le besoin de développement, en cours, est pressant. 

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:42

Par rapport au dernier article paru sur ce blog, on reste, avec cette entité, dans le même secteur, si bien que l'on est amené à étudier deux concurrents directs l'un après l'autre. Au passage, on remarquera que ces deux grands groupes ont une raison sociale, qui débute par les mêmes lettres ALT : ceci est sûrement un mot cher au milieu, et, seule une immersion en son sein même, permettrait de percer ce mystère ; peut-être est-ce pour le mot "alternative". Si cette déduction semble facile, on peut aussi supposer que ces deux géants sont les deux seuls acteurs du genre, en ce qui concerne cette activité. Il est risqué de faire cette conjecture, mais cela signifierait, alors, que le secteur est peu concurrentiel, pour la France, en tous cas. Quoi qu'il en soit, il est important de remarquer que ce genre d'entreprise est emblématique du capitalisme moderne, dans le sens où sa raison de vivre est l'innovation : il s'agit de toujours se renouveler - et de se perfectionner -, pour pouvoir proposer quelque chose de toujours nouveau, quand le grand public s'est lassé d'un concept.

Mais, il en question d'une entité bien précise, et il ne peut y avoir de meilleurs indicateur que les chiffres généraux : en 2010, le chiffre d'affaire qu'ont généré les 17.000 collaborateurs, qui sont dispersés dans 26 pays, était légèrement supérieur à 1.4 Mds d'euros. L'organisation, pour parvenir à accumuler toutes ces recettes articule son activité autour de 6 pôles que sont l'automobile, l'aéronautique, la santé, l'energie, les services financiers et les télécommunications. En pointe, on citera la collaboration avec l'écurie Renault F1 Team, et, aussi, le développement du projet d'avion photovoltaïque Solar Impulse. Les dossiers les plus récents concernent la CNAM et Microsoft. Avec eux, les professionnels spécialisés dans l'amélioration technologique que regroupe cette structure améliorent les systèmes informatiques.

 

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:39

Voici un Groupe leader européen dans son domaine : l'ingénierie. Il rassemble 11.300 collaborateurs répartie dans 12 pays, qui sont tous en Europe, sauf quand il s'agit de l'Inde. Toutefois, cette présence physique ne détermine pas strictement l'activité de l'entreprise, puisque celle-ci peut se faire ailleurs, comme au Viet-Nâm, par exemple. Toutes ces offices permettent, en 2009, de dégager un chiffre d'affaires de 857 M€, réalisé à hauteur de 30% à l'international, alors que la France représente, à elle seule, 70% des recettes.

Il est important de préciser comment ces résultats plus que satisfaisants ont été atteints. Tout commence en 1988, lorsque trois ingénieurs issus de grandes écoles décident de fonder ce qui, 22 ans plus tard, sera un fleuron de l'économie française. Leur aventure prend assez vite un tour national, mais c'est à partir du début de la décennie que nous venons de traverser que l'envol international prend réellement son essor, avec l'affirmation de la stratégie de croissance externe. C'est-à-dire que, à partir de l'année 2000 (en gros), le concurrents sont rachetés à tour de bras par le rouleau compresseur que l'on étudie.

Reste à définir clairement les métiers de l'entité : ceux-ci s'articulent tous autour d'un même processus. Cela va de l'expertise technique à la maintenance, avec une répartition des tâches bien spécifique, puisque la maison-mère de Paris possède six filiales, grâce auxquelles elle peut assurer une expertise complète, chez le client ou pas, allant de l'optimisation réseau (informatique ou énergétique) à l'architecture physique, puisque, dans le cadre des contraintes climatiques, les structures qui nous donnent du travail sont appelées à investir massivement dans les technologies propres : l'aéronautique est à la pointe de ce mouvement de conversion. Ainsi, il y a neuf secteurs clés dans lesquels la marge de manoeuvre est large.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:31

Il est plutôt difficile de collecter des informations concrètes sur cette entreprise : par exemple, il semble vain de chercher le nombre d'employés que compte cette "structure". Et pour cause : elle fait, apparemment, partie d'une de ces nébuleuses financières, dont il appartient aux seuls experts de démêler clairement les montages. La masse salariale revient, en fait, à une autre entité, Apax Partners SA, avec qui l'organisation que l'on étudie partage le même personnel, en plus de quelques responsables spécifiques. En gros, il n'est pas faux de dire que le nom qui nous intéresse est le bras boursier, grâce auquel on lève des fonds publics, du plus grand ensemble que l'on a dernièrement évoqué.

Ainsi, les investissements, et donc les risques, sont réalisés de façon conjointe. Ce choix revient à jouer la carte de la sécurité, puisque l'objet véritable de cette ramification est la gestion des incertitudes liées à la prise de participation dans d'autres entités non conventionnelles, c'est-à-dire dont le secteur d'activité est trop à la pointe de la technologie, pour que l'on puisse avoir un recul nécessaire permettant de s'assurer du caractère durable du secteur économique sur lequel on mise. C'est pourquoi, dans le cas présent, on peut revendiquer, légitimement, être un acteur décisif du capital-investissement. Cela autorise l'intrusion légale au sein de divers Conseils d'Administration, engendrant une accumulation de connaissances provenant d'horizons différents, ce qui peut constituer un savoir-faire spécifique, utile pour la gestion, en tant qu'apport idéologique.

Concrètement, la fusion-absorption d'Amboise Investissement, en 2007, par Altamir & Cie. explique la raison sociale indiquée dans l'intitulé. Il faut dire, aussi, que cela désigne un agent qui a énormément souffert du début de la crise mondiale, puisque, en 2008, les résultats financiers ont été désastreux. Heureusement, 2009 a été un meilleur cru, et 2010 s'annonce encore meilleur, car la position spéciale des titres sous-jacents a déjà subi les perturbations voulues par la conjoncture internationale.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:27

Il convient de définir la domaine de production de ce Groupe, car son activité est hautement stratégique de l'avenir de l'Environnement, et, donc, du nôtre. Il s'agit, en effet, de construire des centrales de tous types (bien que l'axe principal de développement soit plus orienté vers les technologies conventionnelles, c'est-à-dire à énergie fossile), pour générer de l'électricité. Ainsi, concernant ce secteur, le carnet de commande de l'entreprise est représentatif de la prise de conscience, par rapport au danger climatique. Force est de constater, malheureusement, que l'heure fait encore la part belle aux anciennes méthodes, puisque les solutions à gaz ou à charbon sont, d'abord, proposées. Des efforts sont faits : 30 % des installations hydroélectriques dans le Monde existent grâce à la structure étudiée.

Il y a, aussi, un autre moyen de réduire nos émissions globales : faire en sorte que nos transports soient propres. Là aussi, l'agent économique en question peut intervenir, puisqu'il jouit d'une position intéressante, sur le marché mondial des infrastructures ferroviaires. L'expertise va de mobilier fixe (les rails...) à ce qui est circulant (les trains), et, dans les réseaux urbains et interurbains, il faut souligner l'omniprésence du fleuron français.

Enfin, il faut évoquer le troisième pilier, qui fait la jonction entre les 2 noyaux présentés ci-dessus. Cela permet de transmettre ce qui a été produit en amont à l'aval, qui en fera bon usage. Ce pôle est, lui aussi, assez complexe, puisqu'il faut toujours optimiser le transport de l'électricité. Concrètement, il s'agit de trouver la meilleure façon de gérer les lignes à haute tension.

Enfin, intéressons-nous au passé du Groupe. Tout commence en 1928,, mais on peut remonter bien plus loin : c'est ainsi que ALS-THOM avait, dans sa raison sociale, les indices de ses origines (la région ALSace et la société franco-américaine THOMson-Houston . Cette histoire se confond, un temps, avec celle d'Alcatel, mais la scission entre les deux branches a permis à Alsthom de perdre son "H". Très vite, les record et autres succès s'accumulent, ce qui fait que, aujourd'hui, l'entité regroupe 96.500 collaborateurs, présents dans plus de 70 pays. Tout ce monde génère, surtout depuis l'étranger, un chiffre d'affaire de plus ou moins 20 milliards d'euros, selon les sources.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:17

Il s'agit d'une entité issue de la nouvelle génération, puisqu'elle a été créée en 1995. Surtout, son activité est emblématique des dernières évolutions mondiales : la finance constitue, en l'occurrence, la base du développement. Toutefois, il n'est pas question de spéculer : les opérations réalisées sont bien plus compliquées.

Et, elles ont l'intérêt de ne pas avoir d'influence sur la bonne marche de l'économie. Pour les mener à bien, elles requièrent des compétences de tous horizons, mais, on a pas besoin, comme dans les entreprises industrielles, de multiplier les collaborateurs, de manière exponentielle : dans le cas présent, s'il y a bien une expansion à ce niveau, aussi, 69 personnes, en 2009, 62.600.000 €, ce qui permet, au final, 0.75 € par action, alors qu'un titre s'acquiert aux alentour de 7 €.

Si le nombre de travailleurs est faible, de nouvelles embauches ne sont freinées - nous dit-on - que par des préoccupations d'ordre pécuniaire : en effet, la subtilité du créneau (on ne peut pas parler de secteur) offre des perspectives illimitées : il s'agit d'arbitrages. Cela signifie que, en prenant l'exemple le plus simple, on vend, à partir d'un emprunt, des parts sur tel marché, que l'on rachète, simultanément, sur une autre place financière ; la différence est le bénéfice. On peut, également, réaliser le même type de transaction avec les produits dérivés (comme les bons de souscription). Les multiples options, pour gagner de l'argent, sont à classer selon de types : processus avec ou sans risque.

Tout cela suppose de performantes infrastructures informatiques, bien connectées au reste du Monde. Et, si l'on peut voir, dans les résultats annuels, les effets de la crise, il est indéniable que, année après année, les économies émergentes prennent de plus en plus de place, dans la répartition des profits du Groupe. Sa structure de répartition est, donc, un bon indicateur de l'état global des richesses.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:13

C'est un nouveau venu sur le marché du SRD (Service de Règlement Différé) que l'on se propose d'étudier. Il s'agit d'une SIIC (Société d'Investissement Immobilier Cotée), dont les possessions sont surtout en France, à 80%. Le reste est probablement situé (pour une grande partie, en tous cas) en Belgique, puisqu'une des filiales du Groupe y est basée. Au total, la société a à gérer trois structures.

L'histoire comme en 1990, et le développement de l'entreprise a surtout été axé sur une stratégie de croissance externe, c'est-à-dire que cela s'est fait en rachetant des concurrents, par des manipulations boursières. C'est ainsi que l'on apprend que l'entité actuelle est issue de la fusion de deux autres établissements. Elle a diversifié ses actifs, en 2006, en rachetant Banimmo, puis, en 2007 Affiparis (d'ailleurs, la Mairie de Corbeil-Essonnes est client). Dans ce cadre, il faut citer Concerto Développement, qui s'occupe de l'ingénierie logistique (ce qui veut dire qu'elle aide à la réalisation de plates-formes logistiques, en recherchant des locaux adéquats, en finançant l'investissement...).

Il y a d'autres aspects à aborder, vu que le créneau exact qu'occupe Affine est l'immobilier d'entreprise. De plus, le crédit-bail (c'est-à-dire la location avec option d'achat) est une autre attribution. Il y a, également, des activités de construction (regroupées dans Abcd).

Pour 2009, le dividende est de 1.10 €, et, pour la même année, le chiffre d'affaires est de 129.000.000 €.

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 16:11

Voici une entreprise au coeur du Monde actuel, puisque c'est, en partie, grâce à elle que les réseaux de communication mondiaux se développent. Cela n'est que partiel, car, sur le même créneau, il y a l'Américain Cisco Systems, devant ; derrière, figurent le Suédois Ericsson et le Germano-finlandais Nokia Siemens Networks. Ce secteur économique est celui des équipementiers télécoms et réseaux, dont la société en question est, donc, le deuxième plus grand représentant, avec 15.2 Mds d'euros de chiffre d'affaires en 2009. Malheureusement, le résultat du Groupe est négatif, pour cette même année (bien qu'il soit en nette progression, par rapport à l'exercice précédent), et forcément, il n'y a pas de dividende.

Malgré tout, une forte politique de recherche est voulue par les dirigeants (ou par le métier), qui fait que l'on y investit quelques 2.4 Mds €, ce qui fait qu'à peu près 16 % du CA est englouti dans ce seul poste ; toutefois, l'activité est efficace, puisqu'elle a été reconnue 7 fois par le Prix Nobel de Physique. Malgré cette grosse dépense, cela n'empêche pas la structure de 77.000 collaborateurs répartis dans 130 pays (dont 2, seulement, en Afrique).

Alors, l'entité que l'on connaît aujourd'hui est issue d'une fusion, en 2006, entre le Français Alcatel et Lucent Technologies, des Etats-Unis. C'est le premier protagoniste qui a initié l'opération, c'est pourquoi le droit français s'impose à tous, dans cette union. A l'ouest de l'Atlantique, l'aventure commence en 1869, avec la production de matériel électrique, pour accompagner l'avènement, et l'essor, du téléphone ; à l'est, c'est à peu près la même histoire, avec la création, en 1898, de la Compagnie Générale d'Electricité (CGE). C'est, en gros, un siècle plus tard, que les deux acteurs du mariage seront réellement existants, en étant axés sur les communications - et uniquement là-dessus.

C'est ainsi que, maintenant, les clients sont des fournisseurs d'accès internet (l'accès au réseau ADSL est une activité centrale), mais aussi des entreprises de tous horizons, qui ont besoin d'interconnecter leurs différents sites, et des administrations, qui, comme les autres agents que l'on a cité, ont besoin d'améliorer, toujours plus, leur offre numérique, pour satisfaire, au mieux, leurs clients ou usagers. Ainsi, l'étude précise de tous les produits, services et solutions proposés, donne un panorama assez complet des possibilités qu'offre l'informatique, dans le sens où cela rapproche les Hommes.

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