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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 20:08

Voilà un Groupe bien surprenant : 100% de son activité est réalisée à l'étranger. Pour que l'on puisse afficher un tel indice d'internationalisation, il convient de préciser que l'entreprise est présente dans 41 pays, dont des développés (USA, Grande-Bretagne...), des émergents (Brésil, Russie...), et chez ceux qui sont en développement (Mauritanie, Irak...). Ces précisions d'ordre géographique sont importantes pour 2 raisons : d'abord, parce que, à l'heure où le monde développé va mal, il est judicieux de profiter de la croissance du reste du Monde ; ensuite, parce que cette entité, qui fait partie d'une nation où des normes de haute qualité sont en vigueur, assure à ses clients, qui pourraient avoir recours à des services plutôt médiocres, des prestations sûres. Celles-ci concernent la gestion de la "base-vie" en milieu hostile. C'est-à-dire que, sur un chantier, on peut avoir besoin de dortoirs et d'une cantine : c'est de cela dont s'occupe notre acteur économique. Il fait les choses plutôt bien, puisque son cahier des charges doit respecter des standards internationaux. Sur demande, il peut assurer des fonctions autres, comme la construction, l'entretien... des bâtiments dont on va assurer, par la suite, le fonctionnement, de la restauration au blanchissage.

Reste à donner des précisions quant au chiffre d'affaires : celui n'est pas très élevé, peut-être parce que l'aventure à laquelle on s'intéresse a démarré en 1992 ce qui est assez récent. En 2012, il s'est élevé à 315.600.000 €, en progression de 18,3 % par rapport à l'année précédente. On peut d'ailleurs préciser que, depuis sa création, la structure concernée a connu une croissance financière de 39%/an, ce qui paraît assez considérable. Enfin, avec ces moyens importants, on a pu payer, toujours en 2012, 11.600 collaborateurs répartis sur 170 sites.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 21:21

Cet intitulé est assez trompeur, dans le sens où le centre de gravité du Groupe est assez clairement du côté gauche du tiret, alors que le côté droit constitue le fond du commerce. D'ailleurs, ce dernier fer de lance a été créé en 1963, alors que son partenaire existe depuis 1994. Ce dernier a acquis son double en 2007. Ainsi, on est en présence d'un mastodonte, qui, en 2012, comptait 1.232 collaborateurs - un nombre en augmentation. L'union de tant de personnes fait que, pour la même année, on a collecté 1.584.000.000 € de revenus, un chiffre d'affaires que l'on a réalisé sur 3 pays : l'Espagne, l'Italie, et la France.

Le secteur qui permet une telle accumulation de gains est celui de l'immobilier, avec une bonne maîtrise de la filière, à travers la conception, le développement, et la commercialisation d'un portefeuille d'actifs de près de 8 milliards d'euros. Il faut distinguer 3 marchés : celui des commerces, celui du logement, et celui des bureaux d'entreprise. Il est bon de rappeler le palmarès de chaque branche : pour ce qui est de l'activité visant les locaux dont le but consiste à vendre diverses choses, on est en présence de la troisième foncière française du genre, et celle-ci est multicanal, c'est-à dire que, depuis le rachat d'un acteur majeur du commerce électronique, on dispose de plusieurs biais pour assurer le métier de vendeur ; pour ce qui est des lieux de résidence, l'entité détiendrait la position de premier promoteur à Paris et dans le Grand Lyon, et, malgré sa présence dans 10 villes de l'Hexagone, on a bâti que 50.000 habitations depuis 1963, ce qui paraît très peu ; enfin, les locaux à usage professionnel, qui ne sont pas des boutiques, sont en train de prendre une place grandissante, grâce, notamment, aux 500.000 m² qui sont en cours de construction, qui vont s'ajouter aux belles réalisations de Paris-La Défense, et aux hôtels luxueux que l'on a livrés ici et là. 

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 20:00

Ici, on ne fait que détailler les actifs d'un géant que l'on a déjà étudié : le Groupe Bolloré. Du coup, les informations que l'on peut rassembler au sujet de cette entreprise ne sont pas pleinement satisfaisantes. Toutefois, on peut savoir qu'il s'agit d'une section qui compte plus de 300 salariés, qui, actuellement, sont répartie entre la France et le Canada, ce qui est pratique pour se développer dans les 2 mondes - l'ancien et le nouveau. Cela est d'une grande importance car le chiffre d'affaires, qui, en 2012, a été de 61.725.000 €, est en constante augmentation. Ainsi, les perspectives de croissance sont très grandes, puisque l'on se cale sur la présence du mastodonte auquel on appartient, et celui-ci est implanté dans 122 pays, dont beaucoup sont en Afrique. Enfin, il faut préciser que, si ce colosse a été créé en 1822, son choix de lancer la structure que l'on étudie dans les années 1990. La première phase de recherche s'achève en 2001, après quoi on démarre la production commerciale.

Il faut dire que, pour ce deuxième temps, on détient, alors, un portefeuille de plusieurs centaines de brevets. Celui-ci grossit encore, à partir de l'année 2004, quand on développe, carrément, un véhicule entièrement électrique. Dès lors, il est facile d'imaginer le domaine d'activité de notre entité : précisément, il s'agit de fournir à d'autres entités soeurs des batteries qu'elles intègrent à leurs produits finaux. La bonne santé de fournisseur dépend donc, au sein du même giron, des ventes des clients. Ces derniers ne sont pas côtés en Bourse, comme dans le cas présent. Cela donne l'impression que l'on ne souhaite pas vraiment partager le pouvoir, et que, en ayant procédé à une introduction sur un marché de titres, on cherche de l'argent frais, dans la mesure où, pour l'instant, le modèle qui fera gagner de l'argent n'est pas encore trouvé (loin de là). Cela dit, avec le temps, il est certain que l'on va équilibrer les comptes, car le système de partage Autolib' est prometteur.

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 08:38

Là, on pourrait parler d'entreprise émergente, dans le sens où cette entité, qui comptait, en 2012, 2674 collaborateurs, prévoit de tripler - au moins - son chiffre d'affaires, ainsi que le nombre de ses employés. Pour l'année 2013, le cumul des revenus s'est élevé à 241.000.000 €, en progression par rapport aux année. précédentes. C'est, d'ailleurs, cette constante augmentation qui laisse penser que les objectifs que l'on a cité seront atteint à l'horizon 2025. Il faut dire que le parcours déjà établi est assez court, en termes d'années écoulées : l'aventure n'a commencé qu'il y a 15 ans, en 1998-99. Aujourd'hui, le Groupe n'est présent que dans 6 pays d'Europe, mais, globalement, le taux de croissaance de cet acteur est satisfaisant, avec une résistance face à la crise vraiment rassurante.

C'est peut-être une des raisons pour lesquelles de prestigieux clients (la plupart sont français ; 61% des recettes proviennent de l'Hexagone) confient leur système d'information à l'agent étudié. De nos jours, tout ce qui concerne l'informatique semble être porteur, du moment que l'on atteint un niveau de maîtrise qui permet à ceux qui consomment le service d'avoir un interlocuteur unique. pour cela, on a adopté, semble-t-il, la bonne stratégie : elle repose sur un réseau assez dense d'agences disposant d'une connaissance complète, c'est-à-dire qui couvre l'ensemble des logiciels intervenant dans le processus de réalisation de telle ou telle tâche. Ces centres d'opérations sont divisés en 4 pôles : prestations de conseil technologique ; d'ingénierie ; de maintenance et d'infogérence (travail chez le client). Jusque-là, rien de bien original, car il y a, dans ce secteur, de nombreux concurrents, et ils emploient souvent les mêmes méthodes. La particularité, dans le cas présent, est que l'on promeut la délocalisation : évidemment, il ne s'agit pas d'encourager au départ vers d'autres régions du Monde, mais de favoriser la mobilité des stuctures économiques, ainsi que leur externalisation, c'est-à-dire la délégation des fonctions auxiliaires - comme la comptabilité

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 20:37

Voilà une entreprise particulière, puisque son activité se greffe sur celle des autres. On serait même tenté de dire qu'elle n'en a pas vraiment puisqu'elle ne fait qu'investir : en effet, il s'agit d'une société d'investissement. Sauf que traiter les choses ainsi est faux, dans le sens où le travail de cette entreprise consiste à identifier les structures porteuses d'avenir. Ensuite, il s'agit de suivre assez précisément l'actualité de chacune des entités suivies, car le but de la démarche d'accompagnement est de fournir les meilleures conditions nécessaires à l'épanouissement de l'acteur économique aidé. Autrement dit, les structures qui ont la chances d'êtres suivies ont plus de chances de trouver le succès international. Mais, la contrepartie de cet appui est que la cible finit par être sous la tutelle d'un seul actionnaire (parfois, l'agent que l'on présente détient une part largement majoritaire du capital) : il faut donc trouver des "proies" qui sont d'accord pour perdre leur indépendance. D'ailleurs, on peut même aller jusqu'à remplacer l'équipe dirigeante. 

Concrètement, le pourvoyeur de fonds dont il est question - il convient de disposer d'importantes ressources financières - est divisé en 4 départements, qui ont choisi entre 20 et 30 "poulains". Parmi eux, il y a des Groupes confirmés, comme dans le secteur du tourisme, mais cela recouvre des domaines très disparates, comme la location de voitures, les vêtements de luxe, l'informatique ou les panneaux photovoltaïques... En 2012, le chiffre d'affaires aurait été de 4.420.746 €, mais cette somme astronomique correspondrait, aussi, au montant total des sommes consacrées au jeu boursier. Autrement dit, le mode de comptabilisation n'est pas le même que dans d'autres cas. En fait, les revenus correspondent aux dividendes versées chaque année. Et, comme on a pris le soin de ne pas mettre les oeufs dans le même panier, il est possible que le chiffre soit vrai. Quoi qu'il en soit, la masse salariale reste petite, puisqu'une centaine d'employés - tout au plus - collabore. Il va sans dire que l'activité propre se fait juste en France, voire juste à Paris. Enfin, tout a commencé en 2001, lors de la fusion de 2 éléments, dont un existait depuis la fin du 19ème siècle.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 18:20

CIC

Quand il n'est pas question - comme ici - d'activité de manufacture, il n'y a pas de marque qui rentre en jeu, et tout le monde sait de quoi il s'agit, puisque l'on voit les publicités à la télévision. Ce que l'on sait moins, c'est que le Groupe en question a été racheté par un autre réseau tout aussi fameux. Aussi, pour ce dernier, c'est un gros morceau que l'on a décidé de gérer. En effet, en chiffres, la taille du Crédit Industriel et Commercial est assez impressionnante : 4.570.000 clients répartis dans 2.074 agences en France, plus 37 bureaux à l'étranger, par lesquels on couvre une cinquantaine de pays. Malgré la concurrence, cette structure à le droit au statut de leader des banques régionales, avec un chiffre d'affaires, en 2012, de 4.260.000.000 €, ce qui a permis de rémunérer 20.446 collaborateurs.

Cela dit, cet établissement est plus à taille humaine que les autres, et il semble que la description des mètiers de base soit plus simple : l'activité s'articule autour de 5 pôles, et, en ce qui concerne la collecte au détail - qui est, en l'occurrence, l'initiatrice du genre en France, puisque Napoléon III l'a rendu effective dès 1859 -, il s'agit de vendre les produits développéspar la direcction (assurance-vie, crédit-bail...). Par l'intermédiaire des opérations de financement, on assure aux professionnels d'avoir les liquidités suffisantes pour mener à bien leurs projets. Bien sûr, forcément, on joue, aussi, avec les marchés financiers, notamment avec les taux, les actions... On s'occupe, également, d'organiser les patrimoines d'individus fortunés. Enfin, on conseille les entreprises dans leur croissance, et, si besoin, on les aide dans leur aventure, par des prises de participation au capital.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 20:25

Voilà une entreprise que l'on dirait issue des pouvoirs publics, tant son importance dans l'application des diverses politiques est capitale. En effet, on étudie l'entreprise qui a inventé le Ticket Restaurant, et qui, depuis cette création, il y a une cinquantaine d'années, est devenu leader mondial, grâce à un chiffre d'affaires de 1.067.000.000 € en 2012; cela ne représente qu'une petite fraction de l'argent brassé, puisque, sous forme de bons, 16,657 Mds d'euros ont été distribué, cette année-là. Bien sûr, cela ne concerne pas la France : 40 pays à travers le Monde - la Russie et l'Australie ne font pas partie de la liste - sont démarchés, si bien que près de 60% de l'activité s'effectue dans les pays émergents (principalement ceux de l'Amérique du Sud, à l'exception de l'Equateur et de la Bolivie).

Pas mal, donc, pour l'expérience française, qui s'est inspiré d'un modèle anglais existant 10 ans auparavant. Et, sans doute que, dans le cas de notre nation, la réussite a été rendue possible par l'assurance financière qu'apportait le Groupe Accor - géant français de l'hôtellerie -, jusqu'à la scission de l'année 2010. C'est , donc, ce que l'on appelle un spin-off (une entreprise issue d'une autre, qui se fragmente) et cela a concerné près de 6.000 collaborateurs. Ceux-ci ont la chanse d'être aimés par tous : non seulement par les structures clientes et les salarié(e)s bénéficiaires, mais aussi par les commercants affiliés - qui sont remboursés - et les pouvoirs publics. Là, on peut dire que c'est le grand intérêt du système : garantir que les avantages octroyés sont bien dépensés comme le veut le donateur : par exemple, si ce dernier souhaite que l'argent qu'il donne, en plus de la paie, assure à son ou sa salarié(e) une alimentation saine, il peut être certain que ces dons supplémentaires ne serviront pas à acheter de l'alcool ou de la drogue. Adhérer à l'offre du prestataire en question, c'est, pour le patron, avoir un comportement citoyen.

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 19:20

En fait, la raison sociale de ce Groupe est trompeuse. Il réunit bien 4 entité, toutes maîtresse en leur domaine d'activité, mais ces 4 lettres n'ont rien à voir, puisqu'il s'agit d'Airbus, d'Astrium, de Cassidian, et d'Eurocopter - ce qui ferait AACE. Ces 4 entreprises, réunies dans un même giron, génèrent, en 2012, un chiffre d'affaires total de 56.480.000.000 €, ce qui permet de rassembler 140.405 collaborateurs. Ceux-ci sont répartis dans un petite cinquantaine de pays, sur les 5 continents : ainsi, on peut compter 170 implantations, plus un réseau de 33 bureaux de représentation. Toutefois, les 4 marchés principaux restent la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, et l'Espagne, bien que le siège soit aux Pays-Bas. Il ne faut pas chercher dans ces origines géographiques la signification de l'intitulé : vu que le regroupement en question a eu lieu en 2000, on l'a nommé de façon moderne European Aeronautic Defence and Space company. Bref, les amateurs du numérologie diront que les individus à l'origine de ce rapprochement aiment le chiffre 4. 

Bref, comme les mots anglais sont plutôt transparents en l'occurrence, on devine qu'il s'agit de construire des avions, entre autres équipents liés. Premièrement, donc, Airbus propose une large gamme d'aéronefs à des fins d'exploitation civiles, mais ce constructeur est à l'origine, aussi, du meilleur appareil pour le ravitaillement en vol - service typique des armées de l'air. De ce côté, on est leader européen et n°2 mondial. En ce qui concerne Astrium, il s'agit d'un géant de la gestion de projets de mise en orbite : ainsi, 13 satellites ont été livrés en 2011, et on s'occupe de ravitailler la Station Spatiale Internationale. Là, on est n°3 mondial. Cassidian est leader mondial pour assurer la sécurité des frontières, c'est-à-dire des radars. En plus, on a pris part au développement de l'Eurofighter (un super-chasseur volant et polyvalent) et d'un important programme de missiles. Enfin, Eurocopter est le n°1 mondial des hélicoptères.

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 18:42

Avec cette structure, on rentre dans le monde des PME. Dans celui des moyennes entreprises, plus précisément. puisque l'on compte 323 collaborateurs à la fin 2012. Le chiffre d'affaire est en est enn relation : 383.300.000 € pour la même année. Enfin, il faut dire que cette aventure a démarré en 1897, de manière indirecte. En effet, on étudie, en fait, une entité qui représente une fusion de 2 filiales de 2 mastodontes de l'économie nationale. Ce mouvement de regroupement s'est fait en 2001, et, suite à cela, on accolait simplement les 2 anciens noms. Comme, par là, on a acquis l'indépenpendance, on en est arrivé à racheter un concurrent en 2012, et c'est ainsi que l'on a décidé du changement de mon.

Ainsi, jusqu'ici, on ne sait rien du secteur d'activité. On peut essayer de le deviner, si l'on dévoile que les implantaions du Group concernent la France (métropole et, surtout, DOM) et l'Ile Maurice. Donc, qu'y'a-t-il de commun entre toutes cas contrées au climat tropical ? Il s'agit de la canne à sucre, et, comme l'Hexagone est aussi proopecté, il faut dire que sont les déchets de cette plante, après que les industries du rhum ou de sucre l'aient appauvri, qui nous intéressentCela s'appelle la bagasse, et, en la brûlant, on paut produire de l'électricité, ce qui est essentiel pour ses terres entourées d'eau, car c'est ainsi que peut-être on épargne aux insulaires des coupures de courent. Car, grâce aux infrastructures-maison, on est en mesure d'approvisionner 3 million de personnes, grâce à une position de leader mondial, pour la valorisation de ce résidu. Si cela ne suffisait pas, il y a un autre axe, pour compléter cette offre : il s'agit de la bio-méthanisation, qui consiste à obtenir du biogaz, à partir des débris produits par l'agricuture ou les opérations agroalimentaires : dans une moindre mesure, on peut faire ce travail - pour l'instant métropolitain - dans les départements d'outre-mer. Enfin, on assure l'installation et l'exploitation de parcs solaires à haut rendement. Bref, voilà un acteur important du développement de nos lointaines possessions.

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 19:26

Le nom de cette structure, qui, en 2011, rassemble 18.550 collaborateurs, est assez trompeur. Certes, elle évolue bien dans le domaine de l'agroalimentaire, mais la branche concernée n'est pas celle concernée (d'ailleurs, on a déjà vu qui est le leader du légume, qui n'a pas de concurrent) : il s'agit du fromage, et, à cette occasion, il est important de préciser qu'elle n'est que le n°2 français (car on associe le lait à un autre fleuron de l'économie française) et figure au sixième rang mondial, bien qu'elle soit la meilleure, au niveau européen. Il est important de dire, aussi, que ce Groupe s'est construit autour d'une marque, créée en 1956 par Jean-Noël Bongrain : "Caprice des Dieux". Depuis, une excellente politique d'acquisitions fait que, au jour d'aujourd'hui, il est présente dans moins de trente pays, mais ce sont des marchés redoutablement stratégiques. La preuve : 3.981.000.000 € de chiffre d'affaires en 2011.

L'entreprise se présente comme un spécialiste de la transformation des produits lactés, et, puisqu'il a su se tourner, aussi, vers ce qui est innovant, comme le beurre contenant des substances auxiliaires (ce pourquoi elle est la plus forte), et fait régulièrement fructifier son catalogue (surtout en ce qui concerne la France, où elle engrange un tiers de ses recettes. Aussi, elle a une connaissance des habitudes de ses clients, et cette manière d'agir, lui permet d'occuper les niches les plus lucratives : sa stratégie, qui consiste à savoir étre réactif quant aaux évolutions de la consommation, lui permet d'être rapidement sur les meilleurs coups.

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