Réflexions sur diverses infos

C'est encore une grande réussite du cinéma hollywoodien que l'on étudie. Il a ponctué l'année 2008, et on expliquer son succès par le casting : Leonardo Di Caprio, Matt Damon, Mark Walhberg... ont été sollicités pour que l'oeuvre rentre dans les annales du grand écran. Surtout que le tournage a été dirigé par Martin Scorcese, et, avec le concours de tous ces iindividus talentueux, il n'est pas étonnant qu'une moisson de récompences ait été faite, dont 4 Oscars. Du coup, il est vrai que l'on peut trouver dommage que l'on développe une pensée aussi banale qque celle qui concerne l'importance des études. Tout le monde passe par là (ou fait le choix de ne pas y passer), c'est pour cela que le sujet nous semble trop commun, mais il est très important, puisque l'avenir de l'Humanité en dépend. En effet, grâce au travail de formation, on varorise les êtres humains que nous sommes. Nous devenons, alors, des gens perçus avec plus d'intérêt pour les autres, et le respect qui en découle met à l'abri des turpitudes des autres. Par exemple, lors d'un épisode dramatique, on sera mis à l'abri plus longtemps que les autres, parce que, auparavant, on a su les convaincre que, en cas de catastrophe, il fallait agir en faveur de ceux qui ont eu la patience et le courage de garnir leur tête de choses intéressantes. Ainsi, pour les jeunes éléments, le fait d'aller à l'école  est doublement avantageux : non seulement ils s'assurent une bonne intégration dans une société adulte, dont le travail est une valeur cardinale ; en plus, ils s'assurent une place de choix au sein de la hièrarchie, qui leur permettra d'avoir le respect de leurs subalternes, qui feront tout pour leur éviter d'être stressés, professionnellement parlant, par les tracas du quotidien, dont la résolution incombe à ces techniciens du bas de la pyramide.

Cet intitulé est tout simple, si ce n'est que le nom de la ville, qui est le troisième terme, n'est pas au Sud, comme pourrait le laisser penser la consonnance du toponyme. Il s'agit d'une paroisse contiguë à la France, et elle forme, avec 4.322 habitants, le coin Nord-Ouest de la principauté. Du coup, droit au Sud, l'Espagne est loin : 25 km sont nécessaire pour s'y rendre. Dans la même direction, mais en position un petit peu plus occidentale, il y a la capitale, que l'on rejoit au bout de 9.956 longueurs. Si la première distance que l'on a donné correspond à la grande longueur de ce petit territoire, la plus grande largeur est 25.304 mètres, et, en allant vers l'Est et en se rapprochant de l'équateur, on repasse en France. Le club existe depuis 2010, et il occupe l'Estadi Comunal de 1.800 places. Bien sûr, il n'y a qu'un titre de deuxième division au palmarès.

Cette biographie n'est pas comme les autres, puisque, sur ce blog, on s'intéresse rarement aux compositeurs de jazz. En outre, celui-ci ne fait pas partie des plus connus. Il s'agit, en fait, Ian Ernest Gilmore Green, qui est né le 13 mai 1912 à Toronto. Son pseudonyme n'a donc pas grand chhose à voir avec son vrai nom, et il convient d'expliquer qu'il a repris, pour se faire connaître, le patornyme de son beau-père (son père est mort prématurément. Finalement, il n'est pas si étrange de reprendre la désignation identitaire d'un autre membre de sa famille recomposée, lorsque l'on trouve que celui-ci est détenteur d'une combinaison de lettres qui convient mieux à une lerge exposition. Bref, avec tous les bouleversements que l'on imagine pour un clan endeuillé, il parvient, néanmoins, à former un premier orchestre en Califormie, c'est-à dire loin de son lieu de naissance. On est alors en 1933, et il n'a que 21 ans. Pas étonnant, donc, que son aventure à lui ne dure pas, dans ce premier temps. C'est ainsi que, 8 ans plus tard (cet intervalle plutôt large laisse penser que son expérience n'avait pas été si désastreuse), on le retrouve dans l'équipe d'autre musiciens prestigieux, où, à un poste subalterne, il prend de la bouteille, comme on dit. Là, il expérimente des nouveautés, tout en étant protégé par un giron qui n'est pas le sien. Si, dans cette position, il parvient à recevoir la reconnaissance de ses pairs grâce à son professionnalisme, c'est aussi une période de décadence, puisque, pendant un temps, il est obligé de faire des "petits" boulots, pour joindre les 2 bouts. Heureusement, cela reste en contact avec le monde de la musique, et, en 1957, alors qu'il a 45 ans, il décide de reprendre les responsabilités d'un chef, avec un "big band", ce qui est à peu près pareil qu'un orchestre. Il meurt le 20 mars 1988.

Dans ce pays, le meilleur championnat s'appelle la Kategoria Superiore. Il compte 12 participants, ce qui fait qu'il y a 22 journées. Celles-ci commencent à être jouées à partir du 31/08 d'une année donnée, et s'arrêtent le 08/03 de l'année d'après ; ceci est un format récent, car, avant, il y avant 14 concurrents. Au terme de cette saison, le premier d'entre eux peut tenter de se qualifier pour la Ligue des Champions, tandis que les 2 suivants prennent part à la Ligue Europa, s'ils gagnent le match de barrage. Les 4 derniers sont relégables. Cette compétition existe depuis 1930, et il a dû être remis 83 fois.

Evidemment, cette nation a aussi une Coupe, depuis 1939. On doit mentionner aussi la Supercoupe, qui existe depuis 1989, à côté du football féminin.

La sélection nationale est, actuellement, trente-huitième, alors que le pire rang est cent vingt-quatrième, en août 1997. Ses "heures" de gloire ont sonnées en juillet 2013, au trente-septième niveau. 

Le vice-Président des Etats-Unis a affirmé que, à la Maison-Blanche, on était convaincu de la culpabilité du régime syrien, concernant l'usage des armes chimiques. L'Oncle Sam est prêt à intervenir.

La situation s'est débloquée, surtout, avec la décision russe de ne pas intervenir. Il faut dire que, sûrement, l'usage d'outils de mort non-conventionnels a quelque peu sonné Moscou, qui, au bout de plusieurs années, a enfin lâché prise. Il est possible, aussi, que les administrateurs aient décidé que le moment était venu de relancer l'industrie de la défense avec une petite guerre. Quoi qu'il en ait été réellement (car il ne serait pas imossible que, en coulisses, on se soit arrangé avec le Kremlin, pour qu'il se retire après le franchissement de la "ligne rouge" fixée par Barack Obama, et il faut faire remarquer que la soudaine volte-face de l'administration de Vladimir Poutine peut être suspecte. Peut-être, même, que, à Xashington, on se fiche pas mal de ce que Bachar El-Assad - le dictateur de Damas - fait, dans sa frénésie meurtrière. Mais, puisque l'on avait promis de sévir en cas de violation des traités internationaux, il fallait intervenir. Il n'est pas certain que l'on déclenche le déluge de feu, car il faut attendre le départ des inspecteurs de l'ONU. Sur ces derniers, pèse une pression considérable, car, d'ici à ce qu'ils partent, on peut toujours les prendre en otage, pour ralentir l'arrivée de la cavalerie. Dans ce cas là, les sacrfieraient-t-on ?