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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 12:37

Les 5 films que l'on présente cette semaine sont choisis parmi 14 :

1. Le loup de Wall Street, un film de Martin Scorsese, avec Leonardo Di Caprio, Jonah Hill...

2. Albator - Corsaire de l'espace, un film de Shinji Amaraki, avec Shun Oguri, Haruma Miura...

3. Don Jon, un film de Joseph Gordon-Levitt, avec lui-même, Scarlett Johansson...

4. Justin Bieber's believe, un film de John M. Chu, avec Justin Bieber, Will.I.Am...

5. Les âmes de papier, un film de Vincent Lannoo, avec Stéphane Guillon, Julie Gayet...

 

Box-office du 11/12/13 :

1. Le hobbit : la désolation de Smaug, un film de Peter Jackson, avec Benedict Cumberbatch, Martin Freeman...

2. La reine des neiges, un film de Chris Buck et Jennifer Lee, avec Kristen Bell, Idina Menzel...

3. Hunger Games - Embrasement, un film de Francis Lawrence, avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth...

4. Casse-tête chinois, un film de Cédric Klapish, avec Romain Duris, Audrey Tautou...

5. Les garçons et Guillaume, à table !, un film de Guillaume Gallienne, avec André Marcon, lui-même...

 

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25 décembre 2013 3 25 /12 /décembre /2013 16:34

L'auteur-compositeur belge Stromae va faire son entrée aux "Gnignols de l'Info", sur Canal+. C'est ce qu'a annoncé le producteur de l'emission. Toutefois, on ne sait pas qui va imiter l'homme au million d'albums vendus.

Avoir l'honneur de figurer au casting de ce programme court humouristique est une grande chance. En effet, le fait que l'on rigole d'une personne signifie que, au fond, on l'aime bien, car l'intérêt qu'on lui porte va jusqu'à l'imagination, c'est-à-dire que l'on pense à la personne quand elle n'est pas là. Bref, l'humour ouvre la porte de l'assimilation, car, inconsciemment, on finit par aimer celui qui nous fait rire. Bien sûr, il y a des contre-exemples : celui de François Hollande est édifiant. Mais, pour lui, les choses sont un peu différentes : l'individu qui dirige notre pays est incontournable. Il serait même assez honteux que l'on ne parle pas de cette figure centrale de l'actualité nationale. Bref, pour le dirigeant le plus en vue de la République, on est obligé de prévoir une nouvelle poupée. En ce qui concerne les artistes, il y en a beaucoup qui arrivent à vendre leur oeuvre en millions d'exemplaires ; du coup, beaucoup de chanteurs doivent avoir une représentation occasionnelle. L'ennui, c'est que le thème de prédilection de ces gens, c'est la politique, qui est la discipline la plus importante, puisque la vie de chacun en dépend. Enfin, il y a le devoir, pour continuer d'exister, de faire une bonne audience, et, en présentant un nouveau protagonniste, on aiguise et renouvelle l'intérêt des téléspectateurs, car touts ceux qui ont acheté le CD savent de qui il s'agit.

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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 08:20

La semaine entre le 09/12/12 et le 15/12/12 a été, pour ces albums, l'occasion de briller :

1. Stromae, avec Racine carrée ; =

2. Timeless 2013, de Mylène Farmer ; Nouvelle entrée

3. We love Disney, de plusieurs artistes ; -1 place

4. Vieillir avec toi, de Florent Pagny ; =

5. Maître Gims, avec Subliminal ; =

 

Pour les singles, il en va ainsi :

1. Pharrell Williams, avec Happy ; +1 place

2. Photomaton, de Jabberwocky ; +2 places

3. Zombie, de Maître Gims ; =

4. Avicii, avec Hey brother ; +2 places

5. Stromae, avec Tous les mêmes ; -1 place
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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 20:20

La "neutralité religieuse" est le principe qui interdit le port de signes religieux ostentatoires à l'école. Le Conseil d'Etat a dû statuer, aujourd'hui, pour savoir si les mères accompagnatrices doivent se plier à cette loi.

Cette volonté de ne pas admettre les signes religieux dans les établissements scolaires est née du temps de Nicolas Sarkozy, et voilà que l'admistration de François Hollande est obligée de traiter cela. Elle est donc libre d'annuler cette demande, qui, maintenant, semble bien éloignée des préoccupations actuelles. Celles-ci concernent le chômage ou l'aménagement du temps d'enseignement, mais l'immigration n'est plus vraiment un thème in. A vrai dire, les socialistes, jusqu'ici, nous laissent penser qu'ils se moquent pas mal de savoir si la vue d'une femme voilée à une quelconque influence sur les enfants qui se construisent. Car, en fait, l'arrivée des musulmans, des juifs... ne date pas d'hier, et le Monde a toujours tourné rond. Il est vrai que, récemment, l'Islam a connu des évolutions détestables, et c'est peut-être pour cela que, à l'époque, on a cru bon de légiférer. Et c'est surtout pour cette dernière idéologie que l'on a promu la laîcité, car, pour les autres systèmes du même acabit, on reste, en général, assez discret, en réservant pour Dieu les accessoires dont il a l'habbitude. Les adeptes d'Allah ont beau augmenter en nombre, il n'y a pas vraiment de solution, semble-t-il,  car, pour l'instant, ce n'est pas vraiment un problème.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 12:18

Voici l'adaptation d'une nouvelle de Philip K. Dick. La production cinématographique a été portée, en 2002, par un duo de choc : celui de Tom Cruise (qui a donné l'idée au second) et de Steven Spielberg. Pour l'occasion, ils se sont adjoints les services de Colin Farell. Bien sûr, ils ont trouvé le succès, en apportant leurs 2 expertises : en plus d'un succès commercial assez important, le film a reçu une pluie de récompenses. Malheureusent, parmi elles, il n'y en avait pas une qui était majeure. Quoi qu'il en soit, par là, on peut aborder un thème intéressant : celui de la privation de liberté, c'est-à-dire quand on empêche les gens d'avoir une fonction plus ou moins unique. On ne parle pas d'attribution professionnelle, mais de l'exploitation quelconque d'un talent qui serait tellement excessive que l'on en arriverait à ne plus faire qu'une seule chose : toujours la même. Et cela, qui, parfois, est le résultat, comme on vient de le décrire, d'une trop grande sollicitation, peut être aussi l'effet délétère d'une dictature. De toutes les façons, celui qui est victime de cette instrumentalisation est triste de ne plus vivre comme il l'entends, et cela pourrait même aller jusqu'au suicide, acte qui signifierait que l'on refuse de s'astreindre à ne vivre que pour la seule chose à laquelle les autres veulent penser. Mais, l'être humain sait s'adapter, et, après un travail moral peut parvenir à trouver le bonheur, en se disant que, finalement, on peut trouver certains plaisirs dans ce que l'ont fait, même s'il faut une bonne dose de perversion pour les trouver. Donc, on peut être heureux, même dans des conditions de restriction terrible. Sauf que la qualité du sentiment de plénitude est bien médiocre. Peut-on accepter de ne vivre qu'avec une joie que l'on sait tronquée ? Il semble que non, car, alors, on est mal heureux, sans être forcément nalheureux - en 1 mot..

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 20:24

C'est devant le Crif (institutions juives regroupées) que François Hollande a lancé cette boutade : il a dit que Manuel Valls était rentré sain et sauf d'Algérie, et que c'était déjà beaucoup.

Bien sûr, Alger l'a mal pris, puisque l'Histoire a fait que la nation en question réagit de façon épidermique aux accusations de terrorisme, qui, en principe, fait partie du passé. C'est pourquoi il est assez rageant que l'ancien colonisateur soit resté sur cette peur, qui date d'il y a 10 ans, au moins. Il faut dire, aussi, que le Président actuel y est pour beaucoup : s'il avait ouvert son pays au tourisme international, plus de gens se rendraient sur place pour constater qu'il n'y a plus de danger. Mais, on a fait le choix du repli sur soi-même, et le nombre d'années nécessaires à faire changer une réputation est forcément plus long, quand il y a moins de gens qui se liguent pour faire tomber les préjugés. Cela dit, s'il faudrait voir, dans cette mauvaise blague, une occasion de se remettre en cause, il est certain qu'il n'est pas digne d'une personnalité qui dirige une nation de se moquer ouvertement de gens que, jadis, ses prédecesseurs ont fait souffrir. Surtout que cette attaque n'est pas franche : si on avait voulu que ce peuple émancipé de batte pour sa liberté, on lui aurait dit où est le vrai problème. Car, on peut voir les choses ainsi : entre Chefs d'Etat voisins, on joue des coude, et on hésite pas à se faire tomber., en attisant la colère des concitoyens.

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 20:26

Les féministes et la Gauche espagnoles dénoncent le retour de la loi de 1985, concernant l'avortement. En effet, le gouvernement conservateur actuel vient d'annuler la loi socialiste de 2010.

Il convient de donner des précisions : le texte législatif que viennent de proposer les dirigeants rappelle celui d'il y a 28 ans, mais il ne lui est paas identique. Là, il y a 2 dérogations (qui existait déjà peut-être au XXème siècle) : il faut, soit, que la vie de la femme enceinte soit menacée ; soit, qu'il y ait eu un viol. Par ailleurs, il faut dire que cela correspond à une promesse de campagne, et, quelque part, il est toujours satisfaisant que ceux qui gouvernent fasse ce qu'ils ont dit, où que ce soit : c'est preuve d'intégrité. Voilà pour les points positifs, et ce sont les seuls. Car, en fait, cela fait peur : après 28 années - bientôt 29 - de liberté en matière de grossesse, on aurait pu croire que le fait d'avoir ce choix était rentré dans les moeurs : il n'en est rien. Mais, du coup, cela rallonge le délai d'assimilation par une société d'une pratique nouvelle. Autrement dit, pour nous - en France -, on pourrait revenir sur le mariage pour tous en 2041 ! Cette mesure pourrait contestée jusque là. Cela dit, l'Hexagone n'est pas l'Espagne, et il y a de quoi croire que, de notre côté des Pyrennées, on a l'esprit plus flexible, au niveau moral. Chez nous, il semblee que l'Eglise est moins populaire que dans la péninsule ibérique. Car cette question n'a pas une importance capitale.

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 08:18

Entre le 9 et le 15 décembre, on s'est arraché les 10 travaux d'écriture suivants :

1.   Astérix - Tome 35, de Didier Conrad, Jean-Yves Ferri, René Goscinny et Albert Uderzo, chez Albert René (BD)

2.   Blake et Mortimer - Tome 22 - L'onde Septimus, de Jean Dufaux, Antoine Aubin et Etienne Schreder, chez Blake et             Mortimer (BD)

3.   Au revoir là-haut, de Pierre Lemaître, chez Albin Michel (roman)

4.   L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé sans une armoire Ikea, de Romain Puertolas, chez Le                         Dilettante (roman)

5.   La femme parfaite est une connasse !, d'Anne-Sophie et Marie-Aldine Girard (roman)

6.   Hexagone ; Sur les routes de l'Histoire de France, de Lorant Deutsch, chez Michel Lafon (ouvrage de référence)

7.   Voyage en Absurdie, de Stéphane De Groodt et Christophe Debacq, chez Plon (roman)

8.   Blacksad - Tome 5 - Amarillo, de Juan Diaz Canales et Juanjo Guarnido, chez Dargaud (BD)

9.   Docteur Sleep, de Stephen King, chez Albin Michel (roman)

10. Du bonheur - Un voyage philosophique, de Frédéric Lenoir, chez Fayard (essai)

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20 décembre 2013 5 20 /12 /décembre /2013 21:22

L'entreprise française Carmat vient d'annoncer qu'elle a implanté un coeur artificiel entier. Cela s'est fait à l'hôpital Georges Pompidou, et le patient, qui a été opéré mercredi, est conscient et parle à sa famille.

Présenté comme cela, il y a de quoi croire à une avancée décisive de la médecine, d'autant que l'on nous présente ce coup d'éclat - car une transplantation chirurgicale réussi mérite toujours ce nom - comme une première mondiale. Cette dernière expression doit être précisée : il peut s'agir d'une intervention inédite sur le sol français, mais déjà réalisée ailleurs. Qu'à cela ne tienne : c'est toujours une première que de faire quelque chose dans tel enddroit ; par exemple, on a parlé de l'établissement de soins où était le bloc opératoire utilisé, qui se situe à Paris, mais on pourra toujours parler de première mondiale si on fait la même chose à Lille. Ce serait la première fois que, dans cette cité septentrionale, on procéderait au remplacement du matériel cardiaque naturel avec la prthèse en question. Par ailleurs, il faut savoir que ce genre de machinerie existe déjà, mais sous des formes moins sophistiquées. En fait, ici, il ne s'agit "que" d'une innovation supplémentaire, qui pousse la perfection encore un peu plus loin. La grande quesstion tourne autour de la durée de vie. il faudra voir si cela va fonctionner plus longtemps que les technologies actuelles. Bref, on vient juste d'ajouter la cerise sur le gâteau, et l'information ne vaut pas grand chose.

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20 décembre 2013 5 20 /12 /décembre /2013 19:16

L'arrivée de cet artiste au statut d'icône populaire qu'il a actuellement est assez commune. En fait, Hugues Jean-Marie Aufray naît le 18 août 1929 à Neuilly-sur-Seine. Très vite, ses parents - qui sont probablement argentés - se séparent, et le petit suit sa mère dans le Tarn. On sait qu'il a un frère et une soeur, et il suit une scolarité classique dans le collège de sa ville. Puis, en 1945, à  16 ans, c'est le départ pour l'Espagne, où il va retrouver son père, pendant 3 ans. C'est là que se développe sa passion pour la musique : d'ailleurs, quand il revient en France, il maîtrise la langue du pays qu'il vient de visiter, et se met à la chanter. Ainsi, à l'âge de 19 ans, il peut savoir que l'usage de ses cordes vocales est quelque chose qui lui plaît, et c'est à ce moment qu'il se familiarise avec la variété française. Cette période d'apprentissage dure longtemps, et c'est, donc, en connaissance de cause qu'il participe à un concours ayant pour but de dénicher de futures vedettes. Bien sûr, il le gagne, et cela lui donne le droit d'enregistrer, alors qu'il a 30 ans - en 1959 -, un premier album. Vu l'espace de temps qui sépare son retour de la péninsule ibérique et sa participation à cette compétition, on imagine que son attente a dû être longue ; mais, on ne sait pas ce qu'il a fait pendant ce temps. Toujours est-il que ce premier coup d'éclat ne semble pas suffire, pour atteindre la consécration. Cela dit, cette victoire aide à le faire connaître et, à partir du moment où il a été l'auteur d'un certaine oeuvre, il collabore activement avec de grands noms, et cela contribue à accentuer sa renommée. A partir de l'année 1964, on peut dire qu'il a vraiment le statut d'une vedette, après avoir représenté la France à l'Eurovision, qu'il ne remporte pas. Mais, pour ses 35 ans, ses chansons sont connues et aimées, si bien que l'on pense à lui pour rendre hommage à d'autres figures.

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