Réflexions sur diverses infos

La période comprise entre le 4 et le 10 août a été, pour les 10 livres suivants, l'occasion de briller :

1. La vérité sur l'affaire Harry Québert, de Joël Dicker, chez Fallois (roman)

2. Bescherelle - La conjugaison pour tous, un travail collectif, chez Hatier (enseignement)

3. Nos étoiles contraires, de John Green, chez Nathan (jeunesse)

4. Cinquante nuances de Grey, d'E.L. James, chez LGF (roman)

5. Cinquante nuances plus claires, d'E.L. James, chez LGF (roman)

6. Demain, de Guillaume Musso, chez Pocket (roman)

7. Cinquante nuances plus sombres, d'E.L. James, chez LGF (roman)

8. Un sentiment plus fort que la peur, de Marc Levy, chez Pocket (roman)

9. Comme un chant d'espérance, de Jean D'Ormesson, chez Heloïse D'Ormesson (roman)

10. Ne lâche pas ma main, de Michel Bussi, chez Pocket (roman)

En accord avec le gouvernement irakien, la France a décidé de livrer des armes aux Kurdes, Le but recherché est de fournir un soutien aux soldats engagés dans la lutte contre les djihadistes.

Hier, on a écrit un article dont le titre ne correspondait pas au contenu : il conviendrait mieux au présent jet. En fait, il s'agit de dire que la situation n'est pas logique : d'un coté, on matraque le peuple d'impôts en tous genres, tout en demandant à nos partenaires européens de nous aider, car nous peinons faire baisser les mauvais chiffres du chômage. De l'autre, on persiste à vouloir distribuer des aides qui nous coûte cher. Est-il raisonnable de dépenser ses sous quand on en a pas ? Si bien que, là, on pourrait se demander si ce que l'on nous raconte est vrai : c'est-il bien vrai que la Maison France brûle. Tellement d'éléments nous montre que oui que l'on ne peut pas croire que l'on manipule les statistiques économiques. Par contre, il ne serait pas impossible que l'on joue sur la durée de ces déboires. Car, visiblement, il est trop agréable de montrer au reste du Monde que, nous - les Français -, avons le loisir de faire acte de présence quand c'est nécessaire. Mais peu savent que, par là, nous nous essoufflons.

Le Premier Ministre irakien vient d'être investi dans ses fonctions. Il a pour mission de mettre sur pied un gouvernement d'union nationale, qui puisse mettre fin à la rébellion des djihadistes, qui veulent exterminer les Kurdes.

Voilà qui est préoccupant. En effet, si le peuple que l'on a dernièrement cité doit se défendre lui-même, alors qu'il appartient à une entité nationale en principe rigide, dans le sens où ses frontières sont reconnues unanimement. Là, tout un tiers (petit) du pays que nous connaissons actuellement pourrait devenir, au final, indépendant, entraînant, dans le possible mouvement de liberté qui serait alors lancé, de nombreux candidats à une aventure loin de toute tutelle étrangère. Cela laisserait présager de la multiplicité de conflits qui ne manqueront pas d'émailler le XXIème siècle. Rn fait,f la question sur laquelle on doit se concentrer consiste à savoir si l'Etat officiel a été dépassé par une offensive subite qu'il redoute, ou si, par voie légale, on a orchestré la désaffection d'une région dont on d'est désintéressé. Cela serait bien possible, car, dans cette partie du Monde, la tension entre religions et ethnies, dans un climat de pauvreté relative, le cynisme morbide des uns et des autres est trop odieux.

Voici, encore, une belle aventure d'entrepreneur. Celle-ci a démarré en 1999, avec un individu qui s'était forgé une solide expérience dans une autre structure, dont l'activité était quasi-identique. En fait, la force de cette nouvelle entité est d'avoir su faire un bond technologique, qui justifie la volte-face de l'actuel patron. En flairant que les équipements mobiles étaient appelés à devenir des éléments banals, il a eu raison car il se retrouve aujourd'hui en position de leader mondial, avec 233.300.000 € (en progression par rapport aux exercices précédents) et une présence sur tous les continents, par le biais de 27 implantations et 5200 collaborateurs.

Il est illusoire de persister à cacher comment on engrange des revenus : il s'agit de vendre des logiciels de jeux vidéos sur téléphone portable, et, pour cela, la stratégie est, semble-t-il, sans failles. Déjà, il est important de s'adapter aux nombreux modèles d'appareils, ce qui est un travail titanesque, puisque l'on propose 4000 versions. Dans le même ordre d'idées, il convient de bien connaître chaque culture nationale, en vue de lui suggérer l'achat de produits adapté a tel ou tel public : ainsi, on a développé plus de 500 programmes, avec, parfois, des accords pour des licences prestigieuses, qui reprennent, parfois, des reprises de jeu déjà éprouvés sur d'autres plates-formes ludiques ; le plus souvent, il s'agit de productions digitales originales, et on passe des contrats tous azimuts pour trouver des créneaux porteurs. Enfin, il a fallu construire un réseau de distribution solide : pour cela, on a frappé directement à la porte des constructeurs, qui vendent des applications logicielles agrées. C'est ainsi que l'on s'enorgueillit du fait que, chaque jour, un million de ventes sont réalisées.

Quand on est artiste, on a le loisir de choisir, pour son nom de scène, un pseudonyme. Cela peut être un devoir, dans le sens où le but est de faire en sorte que le public retienne telle ou telle désignation. Ainsi, "Smokey" n'est évidemment pas un prénom, mais parler de William Robinson Junior est moins convenable, moins stylisé. Mais, que l'on choisisse l'une ou l'autre appellation, on a toujours affaire à un individu qui est né à Détroit le 19 janvier 1940. Apparemment, on ne veut pas insister sur l'enfance de cet homme, mais on laisse deviner que celle-ci n'a pas connu d'accrocs, qu'elle n'a pas été mouvementée. Et puis, en fait, on est vite obligé de retenir les faits, puisque c'est en 1954 - alors qu'il a 14 ans - qu'il crée, avec trois amis de lycée, la formation musicale qui va le propulser au sommet. Il faut dire que, dans cette ascension, il a la chance de croiser le chemin du créateur d'un célèbre label de musique. Ainsi, 2 aventures exceptionnelles se mêlent, sans se croiser. C'est-à-dire que les réussites de l'une n'ont pas été directement nécessaires à la seconde, auquel car il y aurait eu rivalité. Non. Là, l'une s'occupe de l'aspect commercial, l'autre de l'aspect artistique : elles sont complémentaires. Et, donc, si le succès du trio dont on a parlé a aidé le producteur à acquérir du crédit (et des moyens), ce dernier à permis aux acolytes d'optimiser leurs performances. Du coup, une synergie s'est créée et les uns et les autres ont travaillé de manière plus rapprochée : dès 1961, le leader est associé a celui qui l'a pris sous son aile. Les choses restent telles quel jusqu'en 1972, quand celui dont on étudie la biographie, même s'il est déjà bras droit, rompt avec ses deux autres collègues. Son succès sur scène se démultiplie au même moment.